– : transport par V.F. dans la région de Baccarat. À partir du , en couverture en rive droite de la Meurthe, Flin - Montigny - Badonviller - Celles-sur-Plaine - Senones - col de Saales. À partir du , passage d'un dispositif de couverture à un dispositif de bataille.
14 - : offensive du 21eCorps d'armée sur la frontière. La 13e DI progresse entre la vallée de la Plaine et celle de la Bruche ; prise par la 25e Brigade des cols du Donon, de Prayé, la 26e Brigade s'empare du col de Saales, du Hantz puis offensive dans la haute vallée de la Bruche, Schirmeck : Combat de Plaine.
19 - : engagée les 20 et dans la bataille du Donon, Petit Donon, Fallenberg. En infériorité numérique (une partie de la 25e brigade) après l'échec de la tentative de reprise du Petit Donon, les forces françaises doivent se replier après de lourdes pertes. Les troupes allemandes équivalentes à une division, également très éprouvées n'exploitent pas leur victoire. Repli sur la Meurthe, vers Raon-l'Étape, par le Donon et la vallée de la Plaine.
23 - : combats de Celles et de Badonviller. À partir du , repli vers l'est de Rambervillers.
6 - : mouvement, par la Bassée, en direction de Loos. Engagée dans la 1re bataille d'Artois. Combats vers Loos et Liévin et au nord du plateau de Notre-Dame-de-Lorette.
– : occupation d'un secteur vers Noulette et Vermelles, étendu à droite, le , jusque vers Notre-Dame-de-Lorette : Combats à Vermelles, au Rutoire et vers Angres. Le , front réduit, à gauche jusque vers la fosse Calonne.
16 - : attaques françaises vers Notre-Dame-de-Lorette.
: front réduit, à gauche, jusqu'à l'ouest d'Angres.
– : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Ablain-Saint-Nazaire et l'ouest d'Angres.
5 - et du 15 - : combats sur le plateau de Lorette.
- : placée en 2e ligne ; travaux.
– : engagée dans la 2e bataille d'Artois, vers Ablain-Saint-Nazaire et Notre-Dame-de-Lorette ; Le , prise de la chapelle de Notre-Dame-de-Lorette. À partir du , placée en 2e ligne, prête à intervenir dans la bataille. À partir du , occupation d'un secteur à l'est de Notre-Dame-de-Lorette et d'Ablain-Saint-Nazaire :
16 - : attaques françaises sur le plateau de Lorette, et avance jusqu'aux abords ouest de Souchez.
– : engagée dans la 3e bataille d'Artois : prise de Souchez et du fortin du bois de Givenchy. Puis occupation du terrain conquis vers Souchez et la lisière ouest du bois de Givenchy.
– : retrait du front : repos à l'ouest de Saint-Pol.
– : occupation d'un secteur entre le nord de Souchez et l'ouest d'Angres. Au repos du 25 au , puis occupation d'un secteur vers Souchez et le bois de Givenchy.
– : retrait du front et transport par camion dans la région d'Humières : repos.
1916
1er février – : mouvement vers le nord d'Abbeville ; à partir du , séjour au camp Saint-Riquier. Le , transport par V.F., dans la région de Villers-Brûlin, puis, à partir du , dans celle de Bar-le-Duc. Repos vers Vaubecourt.
3 - : transport par camions à Verdun. À partir du 4, engagée dans la bataille de Verdun, entre le sud du village de Douaumont et l'étang de Vaux.
– : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers la butte de Souain et le sud de Tahure.
– : retrait du front et mouvement vers le nord-ouest de Châlons-sur-Marne : repos. À partir du , transport par V.F. dans la région de Marseille-en-Beauvaisis : repos.
– : retrait du front : transport par camion au sud de Moreuil.
– : transport par camion vers le front. À partir du , engagée dans la bataille de la Somme, vers Estrées-Deniécourt et Soyécourt.
: attaque française.
: prise de Deniécourt.
: front étendu, à droite, jusqu'au sud de Soyécourt. Les 10 et , attaques françaises sur Ablaincourt-Pressoir.
– : retrait du front au nord de Beauvais : repos et instruction.
– : transport par camions vers le nord, et occupation d'un secteur vers Ablaincourt-Pressoir et Génermont.
17 – : retrait du front, mouvement vers Grandvilliers : repos.
– : transport par V.F. dans la région de Vesoul : repos et instruction au camp de Villersexel.
1917
– : transport par V.F. dans la région de Belfort, Petit-Croix : travaux. À partir du , mouvement, par Ronchamp, vers Villersexel : instruction au camp. À partir du , mouvement par étapes vers Héricourt, puis vers Belfort et Montreux-Vieux : travaux. À partir du , mouvement vers Villersexel : instruction. À partir du , transport par V.F. de la région de Belfort, dans celle d'Épernay et de Château-Thierry. Repos et instruction vers Condé-en-Brie. À partir du , mouvement par étapes vers la région de Soissons : repos.
– : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers la ferme de Mennejean et le moulin de Laffaux
: secteur étendu, à gauche, jusqu'au sud de Vauxaillon et réduit à droite, jusqu'au nord de Nanteuil-la-Fosse.
– : retrait du front, mouvement par étapes vers la région de Villers-Cotterêts : repos et instruction.
4 – : mouvement vers le front. Éléments en secteur vers Nanteuil-la-Fosse et éléments aux travaux (préparatifs d'attaque)
– : mouvement par étapes vers la région de Villers-Cotterêts : repos et instruction.
20 – : occupation d'un secteur vers la ferme Mennejean et le nord de Nanteuil-la-Fosse. À partir du , engagée dans la bataille de la Malmaison.
23 - : combats, puis organisation et défense des positions conquises, sur le Canal de l'Oise à l'Aisne, dans la partie est de la forêt de Pinon.
– : retrait du front, transport par camions vers Crécy-la-Chapelle : repos et instruction.
– : transport par V.F. de la région de Meaux, dans celle de Lure et de Villersexel. À partir du 13, mouvement vers Delle : travaux vers Héricourt.
– : retrait du front, transport par V.F. en Champagne. À partir du , occupation d'un secteur vers la ferme Navarin et l'Épine de Vedegrange : le 1er juillet, front déplacé à droite, entre la cote 193 et l'est de l'Épine de Vedegrange.
: engagée dans la 4e bataille de Champagne. Puis contre-attaques et réorganisation du front vers le Trou Bricot et la ferme des Wacques.
La loi du , sur l’organisation générale de l’armée, et la loi des cadres et effectifs du , fixent le nombre des divisions d’infanterie métropolitaines à vingt. Ces dernières sont considérées comme des forces de territoire affectées à la défense du sol métropolitain. Ces grandes unités d’infanterie sont de trois types, dix divisions d’infanterie de type « nord-est », sept divisions d’infanterie motorisées et trois divisions d’infanterie alpine.
La 13e division d'infanterie, stationnée à Besançon, est de type « nord-est ». Sa composition est la suivante :
La division se replie sur l'Oise. Les ponts du secteur sont détruits par le génie, sauf une écluse à L'Isle-Adam dont la destruction risquerait de faire baisser le niveau de l'Oise[12]. La division repousse le 11 juin trois assauts consécutifs de la 8. Infanteriedivisionen, entre 10 h et 14 h. Un quatrième assaut lancé à 18 h 25 permet aux Allemands de prendre pied sur une île au milieu de l'Oise mais ils en sont chassés par une contre-attaque française à 22 h[13].
Sous Vichy
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L'après Seconde Guerre mondiale
Guerre d'Algérie
La 13e D.I. est recrée en 1956. Division occupant la Zone Sud Oranais pendant la guerre d'Algérie. Quartier Général situé à Méchéria. Elle est dissoute en 1962.
↑France Ministère de la guerre, Annuaire officiel des officiers de l'armée active, (lire en ligne), p. 110
↑« Le maréchal Pétain assistera aux plus importantes manœuvres françaises de l'année », Paris-Midi, no 2573, , p. 1&3 (lire en ligne)
↑Philippe Garraud, « Le rôle de l' « hypothèse Suisse » dans la défaite de 1940 ou comment une simple possibilité théorique a pu affecter la réalité », Guerres mondiales et conflits contemporains, vol. 230, no 2, , p. 59 (ISSN0984-2292 et 2101-0137, DOI10.3917/gmcc.230.0059, lire en ligne, consulté le )
Ministère des Armées, État-Major de l'Armée de Terre, Service Historique, Inventaire sommaire des archives de la Guerre 1914-1918, Imprimerie « LA RENAISSANCE » — TROYES - Dépôt légal : 4e trimestre 1969 — No 19.982
Laure, (Lt-col.) - Jacottet (cdt), Les étapes de guerre d'une division d'infanterie (13e division) 1914 - 1918, Paris, Berger-Levrault, 1928, 414 p.
AFGG, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).