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- : engagée, sur place, dans la 1re Bataille de la Woëvre : les 7 et , attaques sur le bois de Lamorville . puis occupation du secteur Maizey, Vaux-lès-Palameix ; à partir du , front déplacé vers la droite, entre le nord de Seuzey et Kœur-la-Grande, puis étendu à gauche, le , jusque vers Vaux-lès-Palameix.
1916
– : retrait du front ; repos et instruction au camp de Belrain.
5, 6, 7, 8 et : attaques allemandes, combats au bois des Corbeaux, à Béthincourt, à Forges et au Mort-Homme.
- : retrait du front. À partir du , transport par camion vers Blesmes. À partir du , transport par V.F., de la région de Blesmes, Revigny, dans celle de Châtillon-sur-Marne ; à partir du séjour au camp de Ville-en-Tardenois.
- : mouvement vers le nord, puis, à partir du , occupation d’un secteur vers Bétheny et La Neuvillette, étendu à droite, à partir du , jusqu’aux abords est de Reims.
– : retrait du front, transport par V.F. dans la région de Revigny ; repos. À partir du transport par camions et mouvement par étapes ver Belrupt et Deuxnouds-devant-Beauzée.
2 – : transport par camions, transporté par V.F. à Verdun ; occupation d’un secteur vers le bois de Vaux Chapitre et l’ouvrage de Thiaumont.
– : mouvement vers Jouaignes ; à Patin du , occupation d’un secteur vers la ferme Brunin et la ferme Malval, étendu à gauche, le , jusque vers le pont de Chevregny.
– : transport par camions vers Cuvilly. Engagée dans la 2e Bataille de Picardie : les 30 et , combats à Mortemer, à Orvillers-Sorel, dans le bois de Mareuil et au nord de Mortemer ; puis stabilisation du front vers Rollot et Orvillers-Sorel.
– : retrait du front et mouvement vers Rethondes. Du 6 au , travaux d’organisation d’une 2e position dans la région d’Attichy, puis mouvement vers Venette. Maintenue en soutien éventuel des forces engagées (3e Bataille de l’Aisne).
- : engagé dans la Bataille du Matz : contre-attaque sur le mont de Caumont ; puis occupation d’un secteur au sud du Matz, vers Chevincourt et Machemont, étendu à droite, le 1er juillet, jusqu’à l’Oise.
↑Philippe Garraud, « Le rôle de l' « hypothèse Suisse » dans la défaite de 1940 ou comment une simple possibilité théorique a pu affecter la réalité », Guerres mondiales et conflits contemporains, vol. 230, no 2, , p. 59 (ISSN0984-2292 et 2101-0137, DOI10.3917/gmcc.230.0059, lire en ligne, consulté le )
Les armées françaises dans la Grande guerre (AFGG), vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).