À la fin des années 1800, une école de jeunes artistes commence à attaquer la philosophie conservatrice de von Becker. On peut penser que c'est une des raisons de son départ de Finlande.
Plus tard certains de ses anciens disciples rabaisseront von Becker, oubliant son influence durant les premières étapes de leur carrière.
Plusieurs différends naissent entre les membres de la jeune génération d'artistes et von Becker, comme au sujet de l'organisation du pavillon finlandais de l'exposition universelle de Paris de 1889.
Pendant l'ouverture de l'exposition Albert Edelfelt et Ville Vallgren se battent avec Adolf von Becker, Walter Runeberg et Berndt Lindholm.
En 1892, il prend sa retraite de l'université et retourne à Paris[2]. Avec l'âge trouvant les hivers parisiens trop froids, il s'installe en 1904 à Nice. Il meurt pendant des vacances à Vevey.
Bibliographie
(fi) Penttilä Tiina (ed.), Adolf von Becker - Pariisin tien viitoittaja -vägen till Paris, Museovirasto, (ISBN951-616-083-2)
(fi) Liisa Steffa, Suomalaisia Taiteilijoita, Helsinki, Otava, (ISBN951-1-1-2242-8)