À la suite de la révolution égyptienne de 2011, il est arrêté le pour « gaspillage de fonds publics »[2]. La Haute cour administrative du Caire le condamne le à une première amende de 40 millions de livres égyptiennes (environ 4,7 millions d'euros), pour avoir donné son accord à la coupure d'Internet et des réseaux de téléphonie mobile à partir du et pendant sept jours consécutifs[3],[4].
Le , Ahmed Nazif est condamné à trois ans de prison pour enrichissement personnel et transactions illégales et d'une amende de 9 millions de livres égyptiennes (un million d'euros environ)[5].