Albator : Le Mystère de l'AtlantisAlbator : Le Mystère de l’Atlantis
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution. Albator : Le Mystère de l’Atlantis (宇宙海賊キャプテンハーロック アルカディア号の謎, Uchu Kaizoku Captain Harlock Arcadia Go no Nazo) est un film d'animation japonais réalisé par Rintarō, sorti en 1978. SynopsisMayu (Stellie dans la version française d'Albator 78) est en vacances. Elle joue de l'ocarina sur un barrage. À la surprise de l'équipage, le vaisseau Arcadia (Atlantis dans la version française d'Albator 78) se met à se mouvoir de lui-même au son de la mélodie jouée par Mayu (Stellie). Harlock (Albator) tente de reprendre le contrôle des commandes mais la barre refuse d'obéir à sa manœuvre. Harlock (Albator) finit par comprendre et laisse finalement l'âme de feu son meilleur ami, constructeur de l'Arcadia (Atlantis), diriger le vaisseau vers la Terre, à la rencontre de la fillette... Fiche technique
Distribution
Autour du film
Différences entre le moyen-métrage et l'épisode
À noter donc que dans l'introduction de la version épisode, l'Arcadia (Atlantis) n'a ainsi montré aucun signe d'intelligence propre à le considérer comme une entité douée de raison. L'intérêt de la version longue & remaniée (moyen-métrage)La séquence d'introduction du moyen-métrage montrant le vaisseau Arcadia (Atlantis) comme un personnage à part entière capable d'agir et de prendre des initiatives - comme celle de se rendre sur Terre à la rencontre de Mayu (Stellie) (séquence absente de la version épisode) - permet d'appréhender d'une toute autre façon la séquence finale (commune aux deux versions) : alors qu'à son bord tous les membres de l'équipage sont endormis, psychiquement "sédatés" par la sylvidre Aman (Adia[2]), le vaisseau Arcadia (Atlantis) - par l'entremise de son ordinateur central (et donc de l'âme de son concepteur et constructeur) - "répond" à l'appel-au-secours d'Harlock (Albator). Dans la version épisode, il s'agit d'un effet de surprise, mais dont l'extrême opportunité face à une situation désespérée peut atténuer sa crédibilité. Dans la version moyen-métrage, l'effet de surprise joue forcément moins mais bénéficie de l'avantage de s'inscrire dans la suite logique de l'intrigue de départ, rehaussant, par là même, la plausibilité d'un tel rebondissement[3]. De plus, cette particularité du moyen-métrage de mettre en évidence le lien entre l'ordinateur central de l'Arcadia (Atlantis) et l'esprit de son concepteur permet "d'asseoir" et d'offrir une raison d'être supplémentaire à une séquence similaire dans l'épisode 30 de la série, où l'âme de Tochirō secoue le vaisseau, alors en cours de réparation. On comprend également mieux la raison qui permet à l'Arcadia (Atlantis) de s'extraire "miraculeusement" d'un éboulement de roches, en Égypte, dans l'épisode 14 "Le Piège des sables", alors que la réserve d'énergie du vaisseau était censée ne pas y suffire. Notes et références
Liens externes
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