En 1911, séjournant à Paris, puis en Russie, sans s'inscrire dans un groupe déterminé, il participe à des expositions du Valet de Carreau, de l'Union de la Jeunesse et aussi aux débats relatifs à l'avant-garde russe.
Durant ses séjours en Russie il étudie l'art des icônes. Son ouvrage L'Icône russe au point de vue de la peinture est un des premiers sur le sujet.
En 1919, il quitte la Russie. D'abord pour Constantinople, qu'il décrira dans son livre : Deux ans à Constantinople. Journal d'un peintre.
Participant à de nombreuses expositions d'art russe partout en Europe, il aime en même temps parcourir les pays du Sud : Grèce, Italie, Espagne.
Il se surnomme lui-même « le vagabond ukrainien ». Ses amis ukrainiens ont créé une « fondation Gritchenko » dans le cadre du musée ukrainien de New York[2].
Œuvres
La liste ci-après est très incomplète :
Rochers à Belle-Île (huile sur panneau d'isorel), 1932, musée de la Citadelle Vauban, Belle-Île-en-Mer)
Les aiguilles de Port Coton à Belle-Île (huile sur panneau d'isorel)[3]
↑Peintres russes en Bretagne, ouvrage collectif (R. N Antipova, Jean-Claude Marcadé, Dimitri Vicheney, Cyrille Makhroff, C. Boncenne, V. Brault, Ph. Le Stum, T. Mojenok, I. Obuchova-Zielinska, M. Vivier-Branthomme), Musée départemental breton à Quimper, Éditions Palentines, 2006, p. 68 à p. 69 (ISBN2-911434-56-0)