Après sa retraite, il s'installe à Nîmes puis Saint-Jean-du-Gard, et commence une carrière d'historien local[1].
Après avoir sillonné les Cévennes, il en tire un « tableau historique et géographique », puis publie en 1962 un ouvrage sur les sobriquets d'Occitanie[2]. Protestant, il donne aussi, en collaboration avec le pasteur Raoul Lhermet, un « pèlerinage aux sources », Itinéraires protestants dans le Gard et les Cévennes[1].
Euzet, mon pays : contribution à l'histoire de quelques villages de l'Uzège, Uzès, Péladan, 1958 (BNF32920118).
À la recherche de la villa de Tonance Ferréol : la villa galloromaine de Marignargues à Saint-Maurice-de-Cazevieille, Uzès, Péladan, 1960 (BNF35172042).
Remontons la Gardonnenque : panorama de la vie rurale à travers l'histoire et le folklore, Uzès, Péladan, 1961 (BNF32920119).
Les Sobriquets collectifs : un aspect peu connu du folklore (Gard et pays de langue d'oc) : anecdotes, dictons, légendes, Uzès, Péladan, 1962 (BNF40200733).
Visitons : de Nîmes à la Camargue, Uzès, Péladan, 1965 (BNF32920117).
Visitons les garrigues : Gard et Ardèche, Nîmes, chez l'auteur, 1969 (BNF35172294).
Avec Raoul Lhermet, Itinéraires protestants dans le Gard et les Cévennes, Uzès, Péladan, 1969 (BNF36264165).
Heurs et malheurs de l'Académie de Nîmes : les tableaux de l'Académie, Nîmes, Le Castellum, 1977 (BNF34621032).
Serge Velay, Michel Boissard et Catherine Bernié-Boissard, « Bernardy, André », dans Petit dictionnaire des écrivains du Gard, Nîmes, Alcide, (ISBN978-2-917743-07-2), p. 36-37..