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Nanti d'un diplôme en sciences politiques et en relations internationales, il commence par collaborer au journal La Meuse[1].
Membre des Etudiants libéraux et président de la Jeune Garde libérale[1], il devient conseiller communal de Verviers en 1965, il devint président du PLPW en 1973 : le parti libéral s'était séparé de son aile flamande un an auparavant. Il resta président quand le parti devint le PRLW (Parti des réformes et de la liberté de Wallonie), en 1977.
L'arrondissement de Verviers composé de francophones et de germanophones, livre des élus au parlement wallon. Un candidat effectif élu qui prête serment à la Région wallonne en langue allemande ne siège de ce fait pas au parlement de la Communauté française. Il devient membre avec voix consultative du parlement de la Communauté germanophone de Belgique. C'est son suppléant, qui occupera sa place à la Communauté. Ce dispositif fut mis en place en 2002, modifiant l'ancienne loi qui interdisait l'accès à la Communauté française pour un germanophone mais ne lui prévoyait aucun remplaçant suppléant, laissant un siège vide.
André Damseaux fut le premier à se glisser dans cette faille institutionnelle pour se faire élire comme suppléant. Ce mécanisme a ainsi repris le nom d'effet Damseaux[2].
Notes et références
↑ a et b« André Damseaux est décédé à 70 ans », sur Communes, régions, Belgique, monde, sports – Toute l'actu 24h/24 sur Lavenir.net (consulté le )