Elle a accompli sa scolarité secondaire au collège expérimental de Sucy-en-Brie, qui appliquait des méthodes innovantes sur le plan pédagogique, puis au lycée Guillaume Budé de Limeil-Brévannes.
Après des études de biologie puis d'histoire à l'université Paris-VII (1975-1981), elle s'est inscrite au département de sociologie de l'université Paris X-Nanterre en DEA, puis en thèse sous la direction du professeur Annie Kriegel
Boursière du Deutscher Akademischer Austauschdienst durant les années 1983-1984, elle a soutenu sa thèse « Pratique de la guérilla urbaine en Europe Occidentale : la RAF de 1970 à 1977 »[3]en . Elle a intégré le département de sociologie de l'Université Paris X Nanterre, comme maître de conférences en 1990. Retraitée depuis septembre 2020.
↑Anne Steiner, Département de sociologie, Université Paris Ouest Nanterre La Défense,
Elle enseigne la sociologie générale, la méthodologie et la sociologie politique en premier et second cycle. lire en ligne.
↑Anne Steiner, Guerilla urbaine en Europe Occidentale : la R.A.F., thèse de doctorat en sociologie s/d de Annie Kriegel, Université Paris Ouest Nanterre La Défense, 1985, (OCLC490544477).
↑Jean-Guillaume Lanuque, RAF. Guérilla urbaine en Europe occidentale, Revue électronique Dissidences, Bibliothèque de comptes rendus : janvier 2012, , lire en ligne.
↑Vincent Chambarlhac, Les en-dehors. Anarchistes individualistes et illégalistes à la « Belle Époque », revue électronique Dissidences, Bibliothèque de comptes rendus : août 2011, 22 juin 2011, lire en ligne.
Pascal Décarpes, « Anne Steiner, Le goût de l'émeute. Manifestations et violences de rue dans Paris et sa banlieue à la « Belle Époque » », Lectures, Liens Socio, (ISSN2116-5289, lire en ligne).
Sylvain Lesage, « Anne Steiner, Le Temps des révoltes. Une histoire en cartes postales des luttes sociales à la « Belle Époque » », Lectures, Liens Socio, (ISSN2116-5289, lire en ligne).