Son officine située rue Sainct-Jacques, près les Jacobins à l'imaige Sainct Jacques[1] à Paris ne fut ouverte que durant 3 ans (1532-1534). Il fut, dit-on, l'un des premiers graveurs de caractères[1], s'inspirant de ceux d'Alde Manuce et inspirant les siens à Claude Garamont.
En 1533 il publie, au moins deux[2] éditions distinctes du Miroir de l'âme pécheresse écrit par Marguerite de Navarre et condamné par la Sorbonne.
Alain Perrocheau. La Fontaine ardente, La Crèche Geste Éditions 1994, roman historique dont Augereau est l'un des personnages principaux, 270 p. (ISBN2-905061-76-6).
William Kemp, « Le livre et l’imprimé à Paris 1531-1535: lectures du T. VI de l’inventaire chronologique », dans Gabriella Almanza Ciotti et alii, Studi in memoria di Antonio Possenti, Rome-Macerata, (lire en ligne), p. 341-374
Ludovic Lalanne, Journal d'un bourgeois de Paris sous le règne de François Ier (1515-1536), Jules Renouard (rue de Tournon, n°6 Paris), , 495 p. (lire en ligne)
Philippe Renouard, Imprimeurs parisiens, libraires, fondeurs de caractères et correcteurs d'imprimerie, depuis l'introduction de l'imprimerie à Paris (1470) jusqu'à la fin du XVIe siècle : leurs adresses, marques, enseignes, dates d'exercice, notes sur leurs familles, leurs alliances et leur descendance, d'après les renseignements biographiques et les documents inédits…, A. Claudin (Paris), , XVI-483 p. (lire en ligne), p. 9
Philippe Renouard, Imprimeurs et libraires parisiens du XVIe siècle, Services des travaux historiques de la ville de Paris, , 382 p. (ISBN978-2-600-04492-9, lire en ligne), p. 203-227