Clément Bérut rejoint le réseau social Twitter en [2]. Il reste dans un premier temps anonyme[3] et publie sous le pseudonyme « Babor Lelefan », inspiré du personnage pour enfant Babar l'éléphant. Il suit dès ses débuts une ligne éditoriale vulgaire et absurde, réalisant notamment plusieurs parodies qui lui apportent une certaine notoriété dans la communauté francophone, certaines étant prises au sérieux[4] et engendrant des articles de vérification des faits[5],[6],[7],[8],[9].
En , il publie sa première bande dessinéeBabor[14], une compilation illustrée de ses meilleurs tweets[15], et quitte son travail l'année suivante dans le marketing cinématographique pour se lancer à plein temps à son activité en ligne[16]. Il sort une deuxième BD, Babor à la rescousse des cacaouates[17], en [18],[19].
En , il publie une enquête à propos de l'influenceur David Michigan et de son nombre d'abonnés très important sur le réseau social Instagram[22]. Il en conclut que la très grande majorité de ses abonnés sont en réalité des robots, ce qui entraîne une médiatisation de ce dernier[23],[24],[25].
Filmographie
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↑Philip Dervis, Enseignement des sciences, méthode scientifique, la formation de l'esprit critique : contribution à une anthropologie des pratiques de l'enseignement des sciences à l'ère du numérique (texte remanié d'une thèse de doctorat en sciences de l'éducation, sous la dir. de Jean Ravestein, Aix-Marseille, soutenue le , no 2016AIXM3087), Saint-Denis, Connaissances et savoirs, coll. « Éducation et apprentissage / Sciences humaines et sociales », , 253 p. (ISBN978-2-7539-0587-0 et 978-2-342-16098-7), p. 164 [lire en ligne].