Il se distingue comme graveur de premier plan pour les sujets architecturaux aux États-Unis et a fait partie du New York Etching Club, le premier club d'aquafortistes du pays.
À l'âge de 6 ans, il déménage avec sa famille aux États-Unis[3]. Il étudie le dessin à la Chicago School of Design and Painting, sous la direction du peintre franco-américain Frédéric Rondel(d)[1],[4],[2].
Au début des années 1880, Mielatz s'installe à New York, où il épouse le Mielatz épouse Mary Stuart McKinney[1],[3].
Aquafortiste actif à New York et Newport (Rhode Island), Mielatz devient membre du New York Etching Club et de la Brooklyn Society of Etchers, ainsi que membre associé de l'Académie américaine des beaux-arts à partir de 1906[4],[8]. Il se distingue comme graveur de premier plan pour les sujets architecturaux aux États-Unis, comme dans Cherry Street (1904) où dans Bowling Green (1910), où son sujet, apparemment le portrait d'un vendeur de glaces, n'est pas plus mis en avant que les bâtiments en arrière-plan[9],[6]. Il a aussi publié douze Views of the City of New York (vues de New York)[2],[8].
↑ a et b(en) William F. Halloran, The Life and Letters of William Sharp and "Fiona Macleod", vol. 2 : 1895-1899, Open Book Publishers, , 650 p. (ISBN9781783748723, lire en ligne), p. 337.
↑(en) Charlotte Streifer Rubinstein, American Women Artists, New York, Avon Books, , p. 178–179.
↑ a et b(en) Anita Price Davis et Jimmy S. Emerson, New Deal Art in Alabama: The Murals, Sculptures and Other Works, and Their Creators, McFarland, (ISBN978-0-7864-9829-1, lire en ligne), p. 22.
(en) Lewis Randolph Hamersly, John William Leonard et William Frederick Mohr, « Mielatz, Charles Frederick William », dans Who's who in New York City and State, vol. 4, L.R. Hamersly Company, (lire en ligne), p. 929.
(de) Otto Spengler, « Charles Frederick Wm. Mielatz », dans Das Deutsche Element Der Stadt New York, (lire en ligne), p. 189.