L'attaque commence dans la nuit du 27 au 28 par un raid combiné de chasseurs Mirage et d'hélicoptères Tigre, avec l'appui d'un drone Reaper et d'un avion ravitailleurC135, dans une zone d'un rayon d'action de quinze kilomètres[2],[3],[4]. Les frappes visent alors des djihadistes appartenant vraisemblablement à l'État islamique dans le Grand Sahara d'après l'armée française[2],[3]. Des soldats nigériens et des soldats français des commandos de montagne et des commandos parachutistes mènent ensuite l'attaque au sol appuyés par des hélicoptères et s'emparent de différentes positions[1],[2],[3],[4]. La zone est ensuite fouillée pendant 48 heures[3].
Les pertes
Selon l'armée française, une quinzaine de djihadistes sont tués dans l'opération[1],[2],[3]. Une vingtaine de motos sont récupérées, de même que 26 armes, dont des mitrailleuses, ainsi que des munitions[3]. Les troupes françaises et nigériennes ne déplorent quant à elles aucune perte[1],[2].