Après des études à l’Université du Québec à Montréal où il défend une thèse de doctorat sur l’histoire des représentations du romancier dans la fiction américaine du dix-neuvième et du vingtième siècle, il publie son premier livre, Malgré tout on rit à Saint-Henri, en 2012.
Il obtient ensuite le Prix littéraire des collégiens, en plus d’être finaliste aux Prix du Gouverneur général et au Prix des libraires, avec L’année la plus longue en 2015. La solitude de l’écrivain de fond, paru en 2017, le fait une fois de plus figurer parmi les finalistes aux Prix du Gouverneur général, cette fois dans la catégorie Essai. L'ouvrage est paru en France chez Flammarion et en anglais chez House of Anansi, sous le titre The Longest Year. Son quatrième livre, Françoise en dernier, paraît en 2018[1].
On lui doit également plusieurs traductions d'auteurs américains et canadiens anglais.
Œuvre
Romans
L'Année la plus longue, Montréal, Le Quartanier, coll. « Polygraphe » no 10, 2015, 422 p. (ISBN978-2-89698-215-8) ; Paris, Flammarion, 2016.
Françoise en dernier, Montréal, Le Quartanier, coll. « Polygraphe », 2018, 224 p.
Héroïnes et tombeaux, Montréal, Héliotrope, 2023, 384 p.
Essais
Jean-François Chassay, Daniel Grenier et William S. Messier (dir.), Les Voies de l'évolution : de la pertinence du darwinisme en littérature, Montréal, Université du Québec à Montréal, Figura, Centre de recherche sur le texte et l'imaginaire, 2013, 191 p. (ISBN9782923907314).
Malgré tout on rit à Saint-Henri. Nouvelles, Montréal, Le Quartanier, coll. « Polygraphe », no 07, 2012, 253 p. (ISBN978-2-89698-029-1). Réédition Montréal, Boréal, 2013.
Les Mines générales, Montréal, Le Quartanier, coll. « Nova », no 3, 2013, 50 p. (ISBN978-2-896981-31-1).
2018 : Finaliste du Prix du gouverneur général du Canada, catégorie traduction de l'anglais vers le français, pour De l’utilité de l’ennui. Textes de balle[4] de Andrew Forbes