Petit maître que j'aime, par Julien Vallou de Villeneuve. Ce tableau datant de 1840 met en avant une vision biaisée de la relation entre un maître et son esclave[1].
↑Jean Barnabé, Patrick Chamoiseau et Raphaël Confiant, Éloge de la Créolité/In Praise of Creoleness, Gallimard, , 136 p. (ISBN978-2070733231).
↑Charles Bonn, Xavier Garnier et Jacques Lecarme (dir.), Littérature francophone. 1: Le Roman, Paris, Hatier et AUPELF-UREF, (lire en ligne).
↑Suzanne Césaire, « Misère d’une poésie. John-Antoine Nau », Tropiques, no 4, , p. 48-50 : « Allons, la vraie poésie est ailleurs. Loin des rimes, des complaintes, des alizés, des perroquets. Bambous, nous décrétons la mort de la littérature doudou. Et zut à l’hibiscus, à la frangipane, aux bougainvilliers. La poésie martiniquaise sera cannibale ou ne sera pas. »
↑(en) Jacqueline Couti(en), « The Mythology of the Doudou », dans Susan Bordo, M. Cristina Alcade et Ellen Rosenman, Provocations. A Transnational Reader in the History of Feminist Thought, University of California Press, , 131-143 p. (ISBN9780520264205, lire en ligne), « 7 ».
↑Jacqueline Couti(en), « La Doudou contre-attaque : Féminisme noir, sexualisation et doudouisme en question dans l’entre deux-guerres », Comment s'en sortir ?, no 1, , p. 7-33.
↑Anny Dominique Curtius, « Tropiques : Le dialogue créole écopoétique d’Aimé et Suzanne Césaire », Présence Africaine, no 189, , p. 141-151 (lire en ligne).
↑(en) Anny Dominique Curtius, « Cannibalizing Doudouisme, Conceptualizing the Morne: Suzanne Césaire’s Caribbean Ecopoetics », The South Atlantic Quarterly, vol. 115, no 3, (lire en ligne).
↑Anny Dominique Curtius, « Suzanne Césaire et la Tropiques-poétique du morne : de Tropiques aux patrimoines immatériels des nœuds de mémoire », Revue de littérature comparée, no 364, (lire en ligne).
↑Olga Hel-Bongo, « Quand taire, c’est dire : L’envers et l’endroit de la revue culturelle Tropiques (1941-1945) », Archipélies, 0Transmettre et Être. Fabriquer le sujet, pérenniser la société no 9, .
↑(en) Marina Magloire, « Witchcrafts of Color: Suzanne Césaire, Mayotte Capécia, and the Shapeshifting Doudou in Vichy Martinique », Meridians, vol. 17, no 1, , p. 107-130.
↑Sébastien Sacré, « Fantasme et sexualité dans les littératures caribéennes francophones : des dangers du stéréotype aux transformations mythiques », Présence francophone, no 72, , p. 1-22 (lire en ligne).
↑Françoise Simasotchi-Bronès, « Les littératures des Antilles françaises : des doudouistes aux (post)-créolistes », Québec français, no 174, , p. 55-58 (lire en ligne).
↑Titor Deglas, « Questions de language... Et de vocabulaire », Poptomitan, (lire en ligne).
↑Émeline Pierre, Le caractère subversif de la femme antillaise dans un contexte (post) colonial, Paris, L’Harmattan, coll. « Approches littéraires », , 190 p. (ISBN978-2-296-05851-4).
↑(en) Edwin Hill, « Adieu Madras, Adieu Foulard: Musical Origins and the Doudou's Colonial Plaint », Ethnomusicology Forum, vol. 16 « Musical Performance in the Diaspora », no 1, , p. 19-43.