Les lettres portent aussi particulièrement sur la façon dont internet et la presse se préoccupent des deux auteurs[4].
Autour de la publication
Le livre se voulait un coup éditorial, avec le tirage d'un titre mystère à 150 000 exemplaires[5].
Le contenu de l'ouvrage avait été gardé confidentiel jusqu'à sa sortie, laissant ainsi les librairies commander des livres sans en connaître le contenu[6].
↑Ennemis publics, Paris, Flammarion/Grasset, 2008, p. 7.
↑Pierre Assouline commente : « Ce dialogue d'ego à ego suinte le sérieux, hélas. On y chercherait en vain une trace d'humour, de distance, de second degré. Quelque part, dans un rare accès de lucidité, BHL s'interroge : « Ce tableau de nos proximités et de nos distances n'intéresse peut-être que nous ». Ce qui n'est pas faux. Puis il insiste : « On a nos zones de bêtise, bien sûr -à commencer par cette tentation de la paranoïa qui nous guette, là, par exemple, dans cette correspondance… » Dommage que cet éclair de perspicacité n'intervienne qu'à la page 219. » in Page du Blog de P. Assouline rendant compte du livre le 5 octobre 2008.