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Ancien élève du collège de Saint-Maurice et du collège Saint-Michel de Fribourg, il est licencié en sciences politiques de l'université de Lausanne, François Gross débute à la Gazette de Lausanne où il sera, tour à tour, rédacteur, secrétaire de rédaction, puis correspondant à Paris où il se montre favorable aux institutions et au fondateur de la Ve République. En 1964, il quitte la presse écrite pour la TSR. Jusqu'en 1970, il est chef de la rédaction en langue française du Téléjournal à Zurich. Il retourne à la presse écrite et assume la fonction de rédacteur en chef de La Liberté dès le 1er juillet 1970. Il assume jusqu'en 1990 cette fonction. Parallèlement, il poursuit une carrière d'enseignant à l'institut de journalisme de l'université de Fribourg.
Durant les années 1990, il assume parallèlement le poste de rédacteur en chef de Radio Suisse internationale à Berne et de président de Reporters sans frontières - Suisse, dont il est membre fondateur. Il a également mis sur pied, en 1995, avec Jean-Marie Etter et Philippe Dahinden, des confrères journalistes, la Fondation Hirondelle, une ONG suisse qui crée des médias indépendants en zones de crises.
Le 13 novembre 1997, l'Ambassadeur de France André Gadaud lui remet les insignes de chevalier de l'Ordre national du Mérite.
François Gross a publié régulièrement une chronique dans Le Temps et a exercé la fonction de médiateur de 24 heures.
La Suisse ou le piège des certitudes, Payot 1978 (contribution)
François Gross en liberté, Fribourg 1996
François Gross / "Quoi de neuf ?", suivi de Journal de guerre-Irak 2003, préface de Christophe Gallaz, éditions L'Aire, Lausanne, entretiens avec Christian Ciocca, (ISBN2-88108-710-8)