Une partie des chansons du répertoire Dona est reprise et enregistrée par Bérard[3].
Pendant la Première Guerre mondiale, le répertoire patriotique du chanteur (Le Chant du retour, 1915 ; Ce que chantent les flots de la Marne, 1916) obtient un grand succès. Au cours des années 1920-1930, il joue dans des revues ; après 1936, son nom n'apparait plus dans aucun programme[réf. souhaitée].
Gaston Dona a un fils, Dona fils, également artiste lyrique, né le à Paris où il est mort le [1] ; ils participent ensemble dans les années 1930 à des revues[réf. souhaitée].
Ses cendres reposent dans le columbarium du Père Lachaise, case 6881[1].
Une Rouleuse (Paroles de Disle et Joullot, musique de B. Boussagol), 1903
Phonoscènes
Dona apparait dans quatre phonoscènes repertoriées dans le catalogue de la Gaumont[7] :
1804 Marche Française (1re diffusion : 17 mai 1912) parolier, compositeur, date[réf. nécessaire]
Fleur de Seine (1re : 1er janvier 1905) parolier, compositeur, date[réf. nécessaire]
Le Roussot (1re : 1er janvier 1909) parolier, compositeur, date[réf. nécessaire]
Ce que c'est qu'un drapeau (1re : 1er janvier 1909)[8].
Ré-édition numérique
La France Qui Passe (2:37), Anthologie de la chanson française enregistrée (1900-1920) : les chansons patriotiques, sous la direction de Marc Robine (2002, EPM)
↑Giusy Pisano & Valérie Pozner (sous la direction de), Le Muet a la parole : cinéma et performances à l'aube du XXe siècle, AFRHC, 2005 (DVD inclus). sur le DVD
Voir aussi
Bibliographie
Giusy Pisano & Valérie Pozner (dir.), Le muet a la parole : cinéma et performances à l'aube du XXe siècle, AFRHC, 2005 (DVD inclus) (ISBN9782913758780)
Anthologie de la CSDEM, plusieurs volumes et dates de parution
Chantal Brunschwig, Louis-Jean Calvet, Jean-Claude Klein, Cent ans de chanson française, Seuil (1re éd. reliée), 1972 ; ré-éd. coll. Points actuels, 1981 (ISBN2020029154)