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Georges Chéron
Georges Chéron (? - 1931) est un marchand d'art moderne parisien. Biographie Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? Il a d'abord été négociant en vin de Béziers. « Chéron n'a pas réellement d'expérience en art et recherche plus son intérêt que celui de l'artiste. »[2] En , il ouvre à Paris la Galerie des Indépendants, au 56 rue La Boétie[3]. Elle est bientôt appelée Galerie Chéron et Cie. Son nom rivalise avec celui de Paul Rosenberg qui se trouve au no 21, parmi 7 autres galeries (Billiet, Bing, Danthon, Manthelet, Percier, Reitlinger et Ronsard)[4]. Il propose à Modigliani de lui céder une partie de son oeuvre contre une certaine sécurité financière, ce qui n'est pas évident pour ce jeune marchand obliger de fermer son commerce à deux reprises la première en août 1914 à la suite de la déclaration de la guerre, et à l'automne 1915[5]. François Coty[6] finance la première exposition personnelle de Foujita chez Chéron du 1er au [7]. L'opération est renouvelée en 1918 puis en 1923[8]. Georges Sabbagh y organise sa première exposition du 10 au [9]. Il y vend aussi Modigliani[10] (après que ce dernier eut fait affaire avec le marchand Paul Guillaume), Soutine[11] et Bando[12]. En , l'exposition Vladimir de Terlikowski[13] est recommandée par le bulletin de la vie artistique, puis celle de Lily Converse[14]. Émile Boyer y expose en 1922[15]. En novembre 1924, Antoon Kruysen[16]. En avril-mai 1925, c'est Félix Bellenot[17],[note 1] qui expose dans le sillage de l'exposition internationale de Paris. En mai de la même année, on peut y découvrir Alexandre Zinoview[18]. Il a eu aussi un contrat avec Georges Dorignac[19]. Edmond Heuzé a recours au galeriste en 1921, 1923, 1924 et 1930[20]. Il a sous contrat Léon Gard de 1925 à 1931, et fera plusieurs expositions de ce peintre[21]. Mémoire Existe un portrait de Chéron dû à Foujita, de 1923, dessiné au crayon[22]. Le musée Maillol conserve une œuvre de Fujita Lettre au marchand Georges Chéron, datée de 1917. Le musée Bourdelle conserve une lettre autographe de quatre pages du galeriste à Antoine Bourdelle, datée du [23]. Le musée Maurice-Denis conserve trois lettres manuscrites de et . Notes et référencesNotes
Références
Bibliographie
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