Son travail documenté sur l'origine des nombres et de leur transcription rejoint les recherches sur l'origine de l'écriture; ses publications traitent également de l'histoire du calcul et des mathématiques[1].
Malgré un succès populaire et universitaire international pour ses travaux sur l'histoire des nombres, ceux-ci sont critiqués par des universitaires[2].
(en) Joseph Dauben, « Book Review: The Universal History of Numbers and The Universal History of Computing (part 1) », Notices of the AMS, vol. 49, no 1, , p. 32-38 (lire en ligne)
(en) Joseph Dauben, « Book Review: The Universal History of Numbers and The Universal History of Computing (part 2) », Notices of the AMS, vol. 49, no 2, , p. 211-216 (lire en ligne)
James RITTER, « La Mésopotamie et Monsieur Ifrah », Bulletin de l'Association des Professeurs de Mathématique de l'Enseignement Public, no 399, , p. 681-685 (lire en ligne, consulté le ).
↑Georges Ifrah, Histoire Universelle des chiffres, Paris, Éditions Seghers, 570 p., p. 568