1 Compétitions officielles nationales et internationales senior, incluant le parcours amateur et en équipe réserve. 2 Matchs officiels. Dernière mise à jour : 22 juin 2019
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International (trois sélections) pendant sa carrière de joueur[1], il était surnommé « Long Couteau » ou « Mac The Knife » en référence à un jeu plutôt viril et à une propension à effectuer des tacles.
Il joue 351 matches officiels et marque six buts au FC Bruges en neuf saisons, de 1972 à 1981, avec à la clé cinq titres de champion et une Coupe de Belgique[2].
Entraîneur
Après avoir raccroché les crampons, il effectue une carrière d'entraîneur dans les principaux clubs de Belgique, mais aussi à l'étranger.
En , il est choisi pour devenir le nouveau sélectionneur des "Diables Rouges"[3]. Pour son premier match, les Belges s'imposent dans les dernières secondes 2-1 face aux Bulgares. Le dimanche , à la surprise générale, Georges Leekens informe qu'il signe un contrat de trois ans pour le Club Bruges, abandonnant de ce fait la sélection des Diables Rouges. Le , six mois après avoir été engagé, il est démis de ses fonctions au FC Bruges.
Le , il signe un contrat de deux ans avec la Fédération tunisienne de football afin d’entraîner les Aigles de Carthage pour un salaire mensuel de 25 000 euros[4]. Pour son premier tournoi avec la Tunisie, Georges Leekens parvient à emmener l'équipe jusqu'en quarts de finale, son équipe étant éliminée 1-2 aux prolongations par la Guinée équatoriale, le pays organisateur de la CAN 2015. Le , la fédération tunisienne annonce avoir résilié son contrat à l'amiable.
Le , Leekens revient en Belgique et succède à Bob Peeters au KSC Lokeren, club qu'il retrouve pour la troisième fois, avec pour mission de le maintenir en Jupiler Pro League. Il réussit sa mission mais est limogé le , en raison d'un début de saison manqué.
Le , il redevient le sélectionneur de l'Algérie, en remplacement de Milovan Rajevac et après son passage en 2003[5]. Après une succession de mauvais résultats (2 nuls et 2 défaites en 4 matchs officiels) et l'élimination de l'Algérie de la CAN dès le premier tour, il démissionne de son poste le [6]. Lucas Alcaraz lui succède[7],[8].
Le il est nommé sélectionneur de la Hongrie pour remplacer l'Allemand Bernd Storck limogé deux semaines auparavant[9].
Il ne sera toutefois pas présent pour les deux premiers matchs amicaux de sa nouvelle sélection et laissera sa place à son adjoint.
En , à l'époque un peu à la surprise générale, Georges Leekens quitte son poste de sélectionneur des "Diables Rouges" et signe au Club Brugeois. Lors d'une conférence de presse, le technicien déclare qu'il considère que 90% du travail est accompli et que l'équipe nationale "n'a plus qu'à" se qualifier pour le mondial brésilien[11]. Ces propos prêtent autant aux sourires, qu'aux critiques dans la presse belge. Leekens est ainsi péjorativement surnommé "M 90%" par moquerie.