Médecin, puis doyen de la Faculté de médecine[1], il est admis à l'hôtel de Bourgogne en 1634, où il joue les médecins et apothicaires burlesques. Successeur de Gros-Guillaume en 1635. En 1642, il quitte le théâtre pour exercer à nouveau la médecine.
Notes et références
↑Guy Patin, Nouvelles lettres de feu M. Gui Patin, tirées du cabinet de Charles Spon, t. 2, p. 173.
Annexes
Bibliographie
François Rémond, Les Héros de la farce. Répertoire des comédiens-farceurs des théâtres parisiens (1612-1686), Paris, Honoré Champion, , 786 p. (ISBN9782745358899, OCLC1379761161).