Après des études de lettres, à l'Université Laval, Hélène Frédérick travaille pour des librairies indépendantes et à la diffusion livres du Réseau Art Actuel Québec[2]. Elle a participé à plusieurs manifestations culturelles à Québec et à Montréal, ainsi qu'à des revues littéraires comme Le Quartanier et Le matricule des anges à titre de critique littéraire.
Installée en France depuis 2006, elle collabore à plusieurs revues littéraires et signe des fictions radiophoniques pour France Culture et France Inter[3].
De 2007 à 2015, elle publie occasionnellement des chroniques dans le journal culturel Le Bathyscaphe[4].
Elle publie son premier roman La Poupée de Kokoschka, en 2010 chez les éditions Verticales. Monique Pétillon[5] parle d'un « premier roman fort et troublant, qui mêle la précision de l'enquête à l'élaboration d'une fiction originale ». Pour Chloé Brendlé[6], « ce qui est au cœur du livre, c'est autant l'obscur objet du désir que l'avènement du sujet du désir. »
Hélène Frédérick habite Paris, mais entretient un lien très fort avec son Québec natal. À ce propos, Thomas Dupont-Buist écrit : « cette autrice colonise l'imaginaire français avec un souci chirurgical du style et de la forme[7]. »
« L'Enjambée », dans Pierre Ouellet (dir.), L'Emportement : exaltation et irritation dans la parole littéraire, Montréal, VLB éditeur, 2012, 369 p. (ISBN9782896494118)
« De l'autre côté », dans Pierre Ouellet (dir.), L'Emportement : exaltation et irritation dans la parole littéraire, Montréal, VLB éditeur, 2012, 369 p. (ISBN9782896494118)
Textes en revues
« Forêt contraire », Les Écrits, n°132, 2011, p. 67-76.
« Survivances de l’ombre », Les Écrits, n°139, 2013, p. 65-70.