Il a été récipiendaire de la croix de chevalier de la croix de fer. Cette décoration est attribuée pour récompenser un acte d'une extrême bravoure sur le champ de bataille ou un commandement militaire avec succès.
Biographie
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Hans-Karl Freiherr von Esebeck appris la connaissance et eut de la sympathique pour la conspiration anti-hitlérienne. Il est arrêté le et passe le reste de la guerre dans les camps de concentration. Libéré à la fin de la guerre, il vit le reste de sa vie dans la pauvreté et meurt le [1].
(de) Fellgiebel, Walther-Peer (2000). Die Träger des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939-1945. Friedburg, Allemagne: Podzun-Pallas. (ISBN3-7909-0284-5).
(de) Veit Scherzer, Die Ritterkreuzträger : die Inhaber des Ritterkreuzes des Eisernen Kreuzes 1939-1945 von Heer, Luftwaffe, Kriegsmarine, Waffen-SS, Volkssturm sowie mit Deutschland verbündeter Streitkräfte nach den Unterlagen des Bundesarchivs, Ranis/Jena, Scherzers Militaer-Verlag, (réimpr. 2005, 2006), 846 p. (ISBN3-938-84517-1 et 978-3-938-84517-2, OCLC891773959).
(en) Mitcham, Samuel W. (2007). Rommel's Desert Commanders — The Men Who Served the Desert Fox, North Africa, 1941–42. Mechanicsburg, PA: Stackpole Books. (ISBN0-8117-3510-9).
(de) Dermot Bradley: Die Generale des Heeres 1921–1945, Band 3: Dahlmann-Fitzlaff; Biblio Verlag, Osnabrück 1994, (ISBN3-7648-2443-3), S. 375–376.
(de) Karl Glaubauf(de): Robert Bernardis – Österreichs Stauffenberg, Statzendorf 1994.
(de) Karl Glaubauf: Oberst i. G. Heinrich Kodré – Ein Linzer Ritterkreuzträger im militärischen Widerstand. In: Dokumentationsarchiv des Österreichischen Widerstandes (Hrsg.), Jahrbuch 2002.