Peintre de la Nouvelle figuration, Jacques Pellegrin commence à peindre dès l'âge de huit ans. À onze ans, il obtient le premier prix de la ville d'Aix-en-Provence.
Son style s'apparente d'abord au courant classique réaliste puis il découvre l'Impressionnisme, son influence durera jusqu'en 1970.
Après des études de traducteur-interprète à Munich, il obtient une licence d'allemand à Aix-en-Provence. L'enseignement est vite abandonné au profit d'une vie d'artiste libre et pleine d'aléas. Il se consacre totalement à la peinture à partir de 1980 et étudie l'Expressionnisme allemand.
Sa ligne directrice majeure et fondamentale : peindre et dépeindre son époque, son temps. Il use fréquemment de couleurs vives, chaleureuses et souligne ses figures d'un trait noir et épais. Chaque toile raconte une histoire, une anecdote, un souvenir. En même temps, solidement ancré dans son époque, lorsque Jacques Pellegrin évoque le passé, il n'y met pas de nostalgie mais simplement de l'affection.
Il est désormais reconnu et mentionné au Bénézit[2] 1999 et 2006.