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Par extension, ce terme est utilisé pour désigner un objet destiné à supporter la lampe proprement dite ; on parle ainsi de lampe de chevet, de bureau, frontale, etc. Il désigne ainsi très souvent des objets d'art ou décoratifs servant à s'éclairer ou à brûler des essences odoriférantes.
Ces lampes étaient destinées à un usage local, voire individuel et portatif. Bien que peu performantes, l'humanité les a utilisées pour s'éclairer, lorsque la lumière prodiguée par le soleil faisait défaut.
Depuis les premières lampes électriques industriellement produites par Edison et destinées à remplacer les réverbères à gaz des villes, les lampes électriques ont beaucoup évolué et présentent aujourd'hui une grande diversité de techniques et de formes.
Symbolismes et rituels
Peut-être parce qu'elles constituent un substitut au soleil, ou comme dispositif de mise en valeur, les lampes sont l'objet d'appropriations symboliques, de coutumes et de rituels.
Différentes lampes
Les lumières peuvent venir de différentes matières. Leur spectre lumineux dépend donc de la matière ayant produit la lumière. Par exemple une lampe à incandescence pourra produire toutes les lumières, alors qu'une lampe à gaz se limite à certaines fréquences.
Inversement, un abat-jour peut éventuellement filtrer certaines fréquences et donc réduire la lumière. C'est le cas en particulier de ceux en verre orientables des lampes de banquier (également utilisées dans les bibliothèques) dont la partie blanche réflectrice concentre la lumière visible sur ce qui est à lire et la partie colorée extérieure en laisse passer une partie par transparence pour éviter aux yeux la fatigue du contraste trop violent que créerait un réflecteur opaque.