La publication des Naufragés du temps débute avec le premier numéro, daté du , de Chouchou, un hebdomadaire édité par Daniel Filipacchi et que Forest dirigeait[1]. La publication de la série dont Forest signait le scénario avec le pseudonyme « Jean-Claude Valherbe » est interrompue en janvier 1965 après neuf numéros[1]. Les deux auteurs reprennent les personnages et leur histoire dans France-Soir en 1974. À partir du cinquième album, en 1977, Gillon réalise seul la série dans Métal hurlant.
Synopsis
Un homme plongé en hibernation dans une capsule dans l'espace au XXe siècle est réveillé mille ans plus tard, en 2990. Sans repère, il est conditionné à rechercher Valérie, la femme qui avait été mise en hibernation avec lui. Mais il doit combattre les Trasses, des rats intelligents extraterrestres[2].
Daniel Riche, « Ortho-Mentas », dans Jean-Luc Fromental (dir.), L’Année de la bande dessinée 81/82, Paris : Temps Futurs, 1982, p. 50.
Paul Gravett (dir.), « De 1950 à 1969 : Les Naufragés du temps », dans Les 1001 BD qu'il faut avoir lues dans sa vie, Flammarion, (ISBN2081277735), p. 252.
Christophe Quillien, « Dames de cœur : Mara », dans Elles, grandes aventurières et femmes fatales de la bande dessinée, Huginn & Muninn, (ISBN9782364801851), p. 68-69.