Du point de vue politique il interpelle en 1919, le ministre des finances Louis-Lucien Klotz pour connaître ses intentions en ce qui concerne la répudiation des emprunts russes[4].
L'Escholier et l'Étudiant, saynète infernale, avec Gabriel Montoya, représentée à la fête de l'Association générale des étudiants de Lyon, Casino des arts,
La Chanson des mois pour la jeunesse, musique de Marcel Legay, 1913
Panurge, haulte farce musicale en 3 actes, d'après Rabelais, avec Georges Spitzmuller, musique de Jules Massenet, Paris, Théâtre lyrique municipal,
Françoise, drame lyrique en 4 actes, avec Édouard Francklin, musique de Charles Pons, Lyon, Grand Théâtre,
Le Parlement français, 1914
La Revue Nocturne, mélodie de Georges Hesse chantée pour la première fois par Mr Noté, de l'opéra, le au grand gala militaire de "L'Automobile aux armées", présidé par Mr Clemenceau (œuvre dédiée au Maréchal Joffre), Paris, éditions Louis Rouhier.
Sources
« Maurice Couyba », dans le Dictionnaire des parlementaires français (1889-1940), sous la direction de Jean Jolly, PUF, 1960 [détail de l’édition]
Notes et références
↑Son acte de naissance (n°1) dans le registre des naissances de Dampierre-sur-Salon pour l'année 1866.
↑Son acte de décès (n°5765) dans les registres de décès du 14e arrondissement de Paris pour l'année 1931.
↑« Evocation », sur Bibliothèques spécialisées de la Ville de Paris (consulté le )
↑(en) Kim Oosterlinck, Hope Springs Eternal. French Bondholders and the Repudiation of Russian Sovereign Debt,, Yale University Press, , 264 p., p. 132