Né en 1964 à Lavaufranche[2] dans la région de la Creuse dans le centre de la France[3], Max Férandon habite au Québec depuis 1998[4].
La critique littéraire Suzanne Giguère a qualifié son écriture de «romans fleuris»[5], «tant la corde à linge déborde d'imagination, de douce folie... et d'odeurs champêtres»[5] tandis que l'écrivaine et critique Martine Desjardins la qualifie de «verve mutine[6]» avec laquelle il prend «les mots comme terrain de jeu et l'imaginaire comme parc d'attractions[6]». Enfin, le critique Christian Desmeules qualifie ses univers de « légèrement fantaisistes, à la limite du bédéesque»[7].
Il est lauréat du Festival du Premier Roman de Chambéry en 2014.
La Roue et autres descentes, nouvelles, parues dans On a tous les jours cinq ans, recueil de nouvelles, Éditions Alto, 2010, 29 p. (ISBN9782923550404 et 2923550404)
Neuf bonnes nouvelles d'ici et une bonne nouvelle d'ailleurs (à vous de trouver laquelle), texte Le chat de l'oncle Émile, nouvelle, Montréal, collectif aux Éditions de la Bagnole, 2014, 180 p. (ISBN9782897141103).
Prix et honneurs
2009: finaliste au Prix des abonnés du Réseau des bibliothèques de la ville de Québec[8]
2014: lauréat du Festival du Premier Roman de Chambéry
↑Isabelle Houde, « Mes favoris romans favoris: Monsieur Ho de Max Férandon », Le Soleil, , page 36
↑Robert Guino, « De la Creuse à la Chine. », La Montagne Brive, , p. Brive-43
↑Frédérick Masson, « Max Férandon offre tout un défi à Monsieur Ho - L'auteur de Québec lève le voile sur son premier roman », Québec Hebdo, vol. no. Vol: 2 No: 28, , p. 16