Ministre des Finances à deux reprises entre 2001 et 2007, ministre des Affaires étrangères de 2007 à 2013, il préside le Conseil constitutionnel de 2013 à sa mort.
Licencié en sciences économiques de l'université d'Alger en 1966, il occupera des postes de direction dans plusieurs groupes publics avant de devenir directeur général de la SNTA. À partir de 1980, il entre dans la fonction publique avant d'occuper des postes ministériels ou institutionnels depuis 1988 jusqu'à sa mort.
Entre 1999 et 2001, il est ministre du Commerce. De 2001 à 2002, il occupe les fonctions de ministre des Finances en plein scandale de l’affaire Khalifa. De 2002 à 2005, il est conseiller à la présidence de la République. Il est à nouveau ministre des Finances de 2005 à 2007.
De 2007 à 2013, il occupe le portefeuille de ministres des Affaires étrangères.
En , il est nommé à la tête du Conseil constitutionnel algérien. Il remplace Tayeb Belaiz[2].