Abou Abdallah Muhammad ibn Ibrahim al-Fazari (mort en 796 ou en 806 est un astronomemusulman[2],[3], auteur d'une traduction en arabe de l'ouvrage indien d'astronomie Brahmasphutasiddhanta.
Il existe également un autre astronome, Ibrahim al-Fazari, que Suter[2] décrit comme étant son père, ayant vécu à la même période à la cour du calife Al-Mansur. Cependant, il est tellement difficile de distinguer les œuvres de l'un de celles de l'autre que certains auteurs[4] pensent qu'il pourrait s'agir de la même personne.
↑(en) Scott L. Montgomery, Science in Translation: movements of knowledge through cultures and time, p. 81.
↑(en) Abramovich, Boris et al., History of Civilizations of Central Asia, p. 177-178.
↑(en) cf. David Pingree, « The Fragments of the Works of Al-Fazari », Journal of Near Eastern Studies, vol. 29, no 2, , p. 103-123.
↑Cf.Yaqut al-Hamawi, « Irshad al-Arib Fi Ma'rifat al-Adib », E. J. W. Gibb Mem. Ser., Londres, D. S. Margoliouth, vol. 6. 2e éd., .
↑(en) cf. Ralph Westwood Moore, Michael Huxley, The Root of Europe: studies in the diffusion of Greek culture, , p. 48
↑ a et bCf. Richard Nelson Frye, The Golden Age of Persia, Phoenix Press, (réimpr. 2000), 304 p., p. 163.
↑(en) cf. Ervin Lewis, Mildred Bain, From Freedom to Freedom: African roots in American soils : selected readings.
↑(en) M.D. Zafar, Glimpses of Islamic History and Culture, 1987, p. 331
↑D'après (en) E. S. Kennedy, « A Survey of Islamic Astronomical Tables », Transactions of the American Philosophical Society, New Series, Philadelphie, vol. 46, no 2, , p. 2, 7, 12 (zijes no. 2, 28, 71).
↑(en) cf. David Eugene Smith, L. C. Karpinski, The Hindu-Arabic Numerals, Boston, , p. 92.
(en) Richard Nelson Frye, The Golden Age of Persia, Phoenix Press, (réimpr. 2000), 304 p.
(de) Moritz Cantor, Leçons sur l'histoire des mathématiques [« Vorlesungen über Geschichte der Mathematik »], vol. I, 1880-1898 (réimpr. 3e éd., 1907), p. 698.