Olivier Weller obtient son doctorat de Préhistoire en 2000 sur l'exploitation du sel au Néolithique et Chalcolithique et ses dimensions socio-économiques. À travers des études archéologiques et ethnologiques menées en Nouvelle-Guinée, il démontre l'influence de la proximité des sources de sel sur les dynamiques de peuplement[1]. Il entre au CNRS en 2002, où il dirige un projet de recherches sur les sources salées de Moldavie[2]. Il collabore également à des programmes d'études en Espagne et en Allemagne.
Olivier Weller, Jean-Claude Hocquet et Antonio Malpica Cuello, Hommes et paysages du sel, Paris, Actes Sud, , 191 p. (ISBN978-2-251-33842-2)
(fr + en) Olivier Weller, Alexa Dufraisse et Pierre Pétrequin, Sel, eau et forêt. D’hier à aujourd’hui : Actes du colloque international de la Saline royale d’Arc-et-Senans, octobre 2006, Besançon, Presses universitaires de Franche-Comté, coll. « Les Cahiers de la MSHE / Homme et environnement » (no 12), , 570 p. (ISBN978-2-84867-230-4 et 2-84867-230-7, DOI10.4000/books.pufc.25467, lire en ligne)
(en) Olivier Weller, Marius Alexianu et Roxana Curca, Archaeology and Anthropology of salt. A diachronic approach. : Proceedings of the International Colloquium, 1-5 October 2008, Al.I. Cuza University (Iaşi, Romania), Oxford, Archeopress, coll. « BAR International Series » (no 2198), , 226 p. (ISBN978-1-4073-0754-1)
Olivier Weller et Bernard Moinier, Le sel dans l’Antiquité ou les cristaux d’Aphrodite, Paris, Les Belles Lettres, coll. « Realia » (no 31), , 37 p. (ISBN978-2-251-33842-2)
Olivier Weller et Robin Brigand, Archaeology of Salt. Approaching an invisible past, Leyde, Sidestone Press, , 227 p. (ISBN978-90-8890-303-8)