En 1948, l'année même où Paul-Émile Borduas et ses amis déposent leur manifeste, intitulé Refus global, il publie Le Vierge incendié, « un recueil pénétrant et violemment surréaliste[7] », grâce à l'intervention de Claude Gauvreau, qui avait pris connaissance du manuscrit, aux Éditions Mithra-Mythe, où venait de paraître le manifeste Refus global[6]. — Ce recueil « restera longtemps peu lu avant de devenir l'une des sources principales de la nouvelle poésie, après 1970[6] ».
Il est l'un des membres fondateurs de la revue Liberté, en 1959.
Il entre à Radio-Canada en 1969, d'abord comme rédacteur en chef des émissions d'affaires publiques et des actualités, puis directeur de l'information à la radio et, enfin, directeur des programmes et vice-président de la radio de langue française[1], jusqu'à sa retraite, en 1991.
Paul-Marie Lapointe (ill. en couverture : reproduction lithographique d'un dessin de Pierre Gauvreau), Le Vierge incendié, Saint-Hilaire, Mithra-Mythe, coll. « Poèmes », , 20 cm, 106 f. (lire en ligne)
(en) Paul-Marie Lapointe (trad. Jean Beaupré et Gael Turnbull — Édition bilingue), Six Poems, Toronto, Contact Press, coll. « A Mimeograph », .
Paul-Marie Lapointe, Choix de poèmes : Arbres, Montréal, Éditions de l'Hexagone, coll. « Les Matinaux » (no 12), , 20 cm, [35] p.
Paul-Marie Lapointe (ill. cinq sérigraphie de Roland Giguère), Arbres, Montréal, Éditions Erta, , 40 cm x 29 cm; [23] p.;[5] f. de planches : ill. en coul.
Édition de luxe, tirage limité à 77 exemplaires signés par l'auteur et l'illustrateur.
Paul-Marie Lapointe, Pour les âmes : Poèmes, Montréal, Éditions de l'Hexagone, , 71 p., 19 cm
Paul-Marie Lapointe (préf. Robert Melançon), Pour les âmes, précédé de Choix de poèmes : Arbres, Montréal, Éditions Typo (no 77), , 118 p., 18 cm (ISBN2-89295-089-9)
(de) 3 poèmes, trad. Hans Thill: [Ohne Titel]; Die fallende Zeit; wir wohnen unter dem donner, en: Anders schreibendes Amerika. Literatur aus Québec. dir. Lothar Baier, Pierre Filion. Das Wunderhorn, Heidelberg 2000, pp 163 – 172
Paul-Marie Lapointe reçoit le prix du Gouverneur général 1971 (transmis le 29 février 1972), pour ce recueil[8].
Paul-Marie Lapointe, Tableaux de l'amoureuse, suivi de Une, unique; Art égyptien; Voyage & Autres poèmes, Montréal, Éditions de l'Hexagone (1re éd. 1974), 101 p., 19 cm (ISBN978-2-89006-106-4)
Paul-Marie Lapointe (ill. lithographies de Gisèle Verreault), Bouche rouge, Outremont, L'Obsidienne, , 16 cm, [18] f.; [14 ] f. de planches : ill.
Édition de luxe, tirage limité à 100 exemplaires signés par l'auteur et l'artiste.
(en) Paul-Marie Lapointe (trad. D. G. Jones, préf. D. G. Jones), The Terror of the Snows : Selected Poems, Pittsburgh (Pennsylvanie, États-Unis), University of Pittsburgh Press, coll. « Pitt Poetry Series », (ISBN0-8229-5274-2).
Paul-Marie Lapointe (ill. Betty Goodwin), Tombeau de René Crevel, Outremont, L'Obsidienne, , 93 p., 28 cm, [1] f. de pl. : ill. (ISBN2-920118-01-3)
Édition de luxe, en cahiers dans un emboîtage; tirage limité à 300 exemplaires : 27 exemplaires illustrés de 7 gravures originales de Betty Goodwin, numérotés à la main et signés par l'auteur et l'artiste, et 273 exemplaires comportant le texte de l'ouvrage et un dessin de l'artiste et signés par l'auteur.
Première édition de ce recueil « écRituRes » : tirage de 1000 exemplaires, en 2 volumes, dans un coffret illustré par Gisèle Verrault. L'édition de luxe comprend 9 encres en couleurs ([4] f. de planches dépl. dans le t. 1, et [5] dans le t. 2) de Gisèle Verreault et les pages de garde de ces exemplaires - reliées toile par Vianney Bélanger - sont ornées de 4 encres de l'artiste. Une autre édition de luxe comprend seulement la reliure toile et les encres aux pages de garde — Édition de luxe limitée à 50 exemplaires et édition de luxe illustrée de 9 encres en supplément, limitée à 40 exemplaires, tous signés par l'auteur et l'artiste. Édition courante : 900 exemplaires.
(en) Paul-Marie Lapointe (trad. D. G. Jones), The 5th Season, Toronto, Exile Editions, , 97 p., 23 cm, xiv, 97 p. (ISBN0-920428-87-8, lire en ligne).
Paul-Marie Lapointe, « ‘‘Petits poèmes animaux’’ », Études françaises, vol. 48, no 1, 2012 (posthume), p. 21-45 (lire en ligne). Feuilles volantes issues d’un fonds privé de l’écrivain et recueillies par Gilles Lapointe.
1976 : Prix de l'International Poetry Forum — à cette occasion, une traduction de D. G. Jones d'un choix de ses poèmes est publiée aux Presses de l'Université de Pittsburgh sous le titre de The Terror of the Snows[6]