Paul Colize traite souvent de l'histoire et des actualités belges dans ses livres[3]. Ainsi, Devant Dieu et les hommes traite de la catastrophe du Bois de Cazier en 1956[1].
Un long moment de silence aborde le sujet de « la réponse judiciaire défaillante à la Shoah, qui contribue à remettre en cause la notion de justice et l’efficacité de l’appareil judiciaire. »[4]
Méthode d’écriture
Pour écrire Concerto pour 4 mains, Paul Colize s'est fréquemment entretenu avec l’ancien truand François Troukens[5].
Un long moment de silence est un « roman archéologique, c’est-à-dire [un] roman qui interroge l’Histoire
à partir du présent et se fait plutôt récit de l’enquête que récit de l’évènement »[6]. Certaines parties du livre sont inspirées de l'histoire familiale de l'auteur[6].
↑Przemyslaw Szczur, « Le (dys)fonctionnement de la justice dans le roman policier. Un long moment de silence de Paul Colize et au-delà », Droit et justice dans la littérature francophone de Belgique, , p. 213-226 (lire en ligne)
↑ a et bRenata Bizek-Tatara, « Inscription de l’Histoire dans Un long moment de silence de Paul Colize », Lublin Studies in Modern Languages and Literature, vol. 47, no 4, , p. 41–50 (DOI10.17951/lsmll.2023.47.4.41-50, lire en ligne, consulté le )
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