D'une famille très modeste, il réussit à poursuivre ses études tout en donnant des cours particuliers. Il est envoyé, en 1706, pour faire des observations sur la faune et la flore ainsi que des relevés astronomiques. Il reste sept ans en Afrique du Sud.
À son retour, il publie Caput Bonae Spei Hodiernum (1719). Ce livre connaît un grand succès et est traduit en anglais, en néerlandais et en français. Il fait découvrir à ses contemporains la vie de la colonie hollandaise du Cap.