L'année suivante, Pons est de nouveau retenu pour participer au Tournoi et dispute deux rencontres contre les Écossais et les Gallois. La France termine deuxième derrière l'Angleterre qui réalise le Grand Chelem. Cette même année, il dispute la finale du championnat avec le club haut-garonnais. Pons et ses coéquipiers s'inclinent 0-5 contre Perpignan, l'ancien club du joueur[3]. En 1922, Toulouse atteint de nouveau la finale du championnat que le club remporte 6-0 contre l'Aviron bayonnais[4]. Le joueur natif de Llupia dispute également un match du Tournoi contre l'Écosse. Il prend sa retraite sportive en fin de saison et se consacre à sa carrière d'enseignant à l'école vétérinaire dont il devient le directeur par la suite[2]. Il reste cependant proche du milieu du rugby puisque le il intègre le comité de direction du Stade toulousain, puis en devient le président le [2]. Il quitte son poste après la Libération en septembre 1944[2].
Le bâtisseur de la nouvelle École vétérinaire de Toulouse
La grande œuvre de Pierre Pons, directeur, fut la construction de la nouvelle école vétérinaire de Toulouse, dans le cadre d'une parfaite entente avec l'Inspecteur général des Écoles nationales vétérinaires, Marcel Petit, et l'architecte Noël Le Maresquier.
L'enseignant de zootechnie fondateur et président du Concours régional agricole de Toulouse
Notes et références
↑« Pons Pierre », sur finalesrugby.fr (consulté le ).