Il est l’auteur de divers ouvrages sur les colonies sous l’Ancien régime d’une Histoire de la Cochinchine française (1910) mais aussi de travaux sur l’Afrique : Les Origines de l’Afrique occidentale. Histoire du Sénégal du XVe siècle à 1870 (1910). En 1902, il reçoit le grand prix Gobert de l’Académie française pour son ouvrage Dupleix, ses plans politiques, sa disgrâce (doté de 1 000 F). Son Histoire de la Cochinchine française, des origines à 1883 reçoit en 1910 le prix Thérouanne de l’Académie française (500 F)[3].
Dupleix, ses plans politiques, sa disgrâce : étude d’histoire coloniale, Paris, Hachette, , viii, 376 p., 25 cm (OCLC6989351, lire en ligne).
(la) De colonia in Insulam Delphinam, vulgo Madagascar, a barone M.-A. de Benyowszky deducta : thesim Facultati litterarum parisiensi, Paris, Hachette, , 112 p., in-8º (lire en ligne sur Gallica).
Leçon d’ouverture du cours d’histoire coloniale fondé par les gouverneurs généraux de l’Indo-Chine et de Madagascar (23 janvier 1906), Besançon, Jacquin, , 30 p., in-8º (OCLC760933248, lire en ligne sur Gallica).
Histoire de la Cochinchine française : des origines à 1883, Paris, Augustin Challamel, , vii-444 p., in-8º (OCLC6989708, lire en ligne sur Gallica).
Les Origines de l’Afrique occidentale : Histoire du Sénégal du XVe siècle à 1870 (Ouvrage honoré d’une souscription officielle du Gouvernement Général de l’Afrique Occidentale Française), Paris, Émile Larose, , 376 p., in-8º (OCLC16514129, lire en ligne sur Gallica).
↑Pierre Singaravélou, Professer l’Empire : les « sciences coloniales » en France sous la IIIe République, Paris, Publications de la Sorbonne, (lire en ligne).
↑Sophie Dulucq, Écrire l'histoire de l'Afrique à l'époque coloniale : XIXe – XXe siècles, Paris, Karthala, , 330 p. (ISBN978-2-8111-0290-6, lire en ligne), p. 291 et passim.