La psychologie morale est un domaine d'étude qui relève à la fois de la philosophie et de la psychologie : historiquement, le terme « psychologie morale » a été utilisé au départ de manière relativement spécifique pour désigner l'étude du développement moral[1],[2] ; Avec le temps, le domaine de la psychologie morale s'est étendu plus largement à divers sujets à l'intersection de l'éthique, de la psychologie et de la philosophie de l'esprit[3],[4] ; selon le philosophe Florian Cova, elle « peut être définie comme l’étude des processus qui nous conduisent à formuler des jugements moraux et sa question centrale peut être formulée de la façon suivante : quelles sont les étapes psychologique nécessaires à l’élaboration d’un jugement moral ? »[5]
↑Naomi Ellemers, Jojanneke van der Toorn, Yavor Paunov et Thed van Leeuwen, « The Psychology of Morality: A Review and Analysis of Empirical Studies Published From 1940 Through 2017 », Personality and Social Psychology Review, vol. 23, no 4, , p. 332–366 (ISSN1088-8683 et 1532-7957, DOI10.1177/1088868318811759, lire en ligne, consulté le )
↑Florian Cova, « Chapitre 1. Psychologie morale et philosophie morale », dans Alberto Masala (dir.), Jérôme Ravat (dir.), La morale humaine et les sciences, Paris, Éditions Matériologiques, coll. « Sciences & philosophie », (ISBN9782919694358, lire en ligne), p. 47-74
Voir aussi
Bibliographie
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Florian Cova, « Chapitre 1. Psychologie morale et philosophie morale », dans Alberto Masala (dir.), Jérôme Ravat (dir.), La morale humaine et les sciences, Paris, Éditions Matériologiques, coll. « Sciences & philosophie », (ISBN9782919694358, lire en ligne), p. 47-74