Le livre est un pamphlet contre l'univers médiatique en général, et la télévision en particulier. Il s'agit d'une version augmentée d'un long article publié par Nabe, dans L'Idiot international, en [1].
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Dans la Tribune de Genève, Jean-Louis Kuffer parle de « textes à la fois incendiaires et clairvoyants »[2]. Pierre Berruer, dans Ouest France, le qualifie de « décapant, joyeux, immonde et toujours aussi nombriliste »[3]. Pour Gilles Brochard, dans La Voix de France, Rideau est « à la fois manifeste au vitriol et profession de foi contre l'idiotie »[4].
Dominique Guillou, dans Le Figaro Littéraire, compare Rideau au Régal des vermines, pour s'interroger sur l'intérêt de « concentrer aujourd’hui ses tirs d’artillerie lourde que sur les falotes vedettes de la télévision, du cinéma et de la chansonnette ,» tout en saluant des formules qui font mouche et « d’étonnantes démonstrations »[5].