Selon les chercheurs, il s'agit d'un complexe rythmique, qui consiste en une fusion du rythme des écoles de samba avec la samba dure et le cabula, un rythme traditionnel exécuté dans les terreiros de candomblé de la nação angolaise[6], mélangé avec rythmes du candomblé Queto, tels que opanijé(pt), savalu, daró et ijexá(pt)[7].
Notes et références
Notes
↑En portugais, le terme samba est un nom masculin, et ses sous-genres sont également accordés au masculin. Néanmoins, la samba s'est fait connaître en France — et donc en français — comme danse avant d'être reconnue comme un genre musical à part entière[1]. Même si certains puristes[2],[3] préfèrent conserver le masculin, l'usage général[1] ainsi que les définitions des dictionnaires français[4] privilégient l'utilisation du genre féminin. C'est ce genre qui a donc été privilégié dans cet article.
Références
↑ a et b(pt) Carlos Sandroni, « La samba à Rio de Janeiro et le paradigme de l’Estácio », Cahiers d’ethnomusicologie, no 10, , note 1 (lire en ligne).
↑(pt) Adrian Estrela Pereira, « Cabila e Ijexá: Interconexões Entre Ritmos de Duas Culturas », dans XV Enecult: Encontro de Estudos Multidisciplinares em Cultura, Salvador, .
↑(pt) J. F. Izquierdo, G. S. Silva et J. M. C. D. Bittencourt, Afrobook mapeamento dos ritmos afro baianos, Salvador, Associação Pracatum Ação Social - APAS, .