En haute-montagne, dans l'hémisphère nord, Trichoderma viride est souvent associé à la colonisation fongique de surface des racines de semis naturels de Picea engelmannii et d'Abies lasiocarpa (dans l'écotone de l'étage supérieur de la forêt alpine, là où survivent les derniers arbres[1].
Ces trois champignons forment un mycélium blanc dit « complexe blanc alpin » (incluant aussi Morteriella parvispora qui « feutre » les racines en améliorant leurs échanges avec le sol[1].
↑ a et bMatthew J Germino, Niles J Hasselquist, Terence McGonigle, William K Smith, Peter P Sheridan, Landscape- and age-based factors affecting fungal colonization of conifer seedling roots at the alpine tree line ; Revue canadienne de recherche forestière, 2006, 36(4): 901-909, 10.1139/x05-303 (Résumé)
↑« L’application de Trichoderma en Europe pour limiter les maladies du bois de la vigne », Winetwork, (lire en ligne)