Velma Pollard, née en , est une poétesse et écrivaine jamaïcaine. Parmi ses œuvres les plus remarquables figurent Shame Trees Don't Grow Here (1991) et Leaving Traces (2007)[2]. Elle est connue pour les manières mélodieuses et expressives de son travail[3]. Elle est la sœur d'Erna Brodber[4].
Son intérêt pour l'écriture a commencé à un âge précoce. A sept ans, elle remporte son premier prix de poème. Ce n'est qu'en 1975 qu'elle a hâte de voir son travail publié[pas clair][6]. Elle a envoyé son travail dans diverses revues, dont le Jamaica Journal. Depuis 1988, son travail a été publié dans plusieurs médias, dont The Women's Press et Canoe Press . Elle a publié plusieurs anthologies et cinq livres de poésie. Son roman Karl a remporté le prix littéraire Casa de las Americas en 1992[7]. Depuis sa retraite, Pollard est à l'université des Indes occidentales comme maître de conférences.
Pollard a longuement étudié les langues créoles des Caraïbes anglophones[8]. Elle a trouvé l'inspiration pour sa poésie dans ce domaine de recherche.
Travaux
L'éducation de Pollard dans une communauté rurale a eu une forte influence sur ses écrits. Son travail présente souvent la nostalgie de la campagne et un ton philosophique fort[4]. La façon dont elle récite son travail reflète la fermeté et la richesse de son écriture. Sa poésie reflète souvent la modernité en contraste avec les modes de vie plus lents du passé. En 2013, Pollard a publié un recueil de poèmes intitulé And Caret Bay Again: New and Selected Poems[3]. Cette collection présente son style d'écriture plein d'esprit ainsi que sa capacité à maintenir l'intérêt de son public[9].
Bibliographie
(en) Velma Pollard, Dread talk : the language of Rastafari, McGill-Queen's University Press, (ISBN0-7735-2030-9).