À partir du , le véhicule automatique léger fonction sur la portion entre les stations Quatre Cantons et Hôtel de Ville. Le public peut venir admirer le métro en rodage[1]. Trois mois plus tard, le , le président de la communauté urbaine de Lille, Arthur Notebart inaugure officiellement le tronçon. Des aspects du métro sont exposés dans les stations[2]. Lors de l'inauguration du métro le , François Mitterrand passe par cette station. La station est inaugurée avec le nom « Hôtel de ville ».
La station est renommée « Villeneuve-d'Ascq - Hôtel de Ville » en 1999 afin d'éviter toute confusion avec la station Wasquehal - Hôtel de Ville, alors construite sur la ligne 2.
Ses quais vont être allongés pour atteindre 52 mètres afin d'accueillir des rames de quatre voitures et ces travaux devraient s'achever en 2023.
Service aux voyageurs
Accueil et accès
La station intègre dans sa construction l'intermodalité et est bâtie en trois niveaux. Le niveau supérieur débouche sur la place Salvador-Allende où se situe le hall et la billetterie, le niveau intermédiaire sur la rue du Ventoux où se trouve une gare routière de bus, et au niveau inférieur se situe les quais de métro[3]. Contrairement à une majorité de stations de métro de Lille, le quai est au milieu et les voies de métro sont sur les extrémités[3]. Les voies sont protégées par des portes palières.
Desserte
Intermodalité
Une station V'Lille est située à proximité de la station, de même qu'une station d'autopartage Citiz.
La station est desservie par les lignes 13, 18, 32, CO1, CO3 et N1 du réseau Ilévia.
L'art dans la station
La voûte étoilée, de l'architecte Pierre-François Delannoy, est en transparente sous des structures modulaires[4]. Elle se veut comme futuriste formant un pavillon à plan carré[5].
La station est décorée par Brigitte Denoyelle. L'œuvre est situé sur les parois latérales de l'ascenseur au centre de la station. Elle est composée de lave émaillé, de terre cuite grésée, de miroir inox et est inspirée de voyages en Amérique du Sud[2].
↑[Houillon et Sename 2011] Marie-Andrée Houillon et Céline Sename, Le métro, c'est automatique : les origines du VAL 1969-1983, Villeneuve-d'Ascq, , 31 p. (lire en ligne), p. 23.