Lors de ces études, il participe à des expositions organisées par la DRAC. Toujours à Angers, aux Beaux-arts, la bande dessinée ayant mauvaise réputation auprès des professeurs, et Éric Omond faisant un travail à mi-chemin entre la peinture et la bande dessinée, les professeurs l'incitent à abandonner la BD pour s'adonner exclusivement à la peinture. À partir de ce moment-là, Éric Omond ne fera plus que de la bande dessinée.
Au cours de ces mêmes études, il fait la rencontre de Yoann Chivard avec qui il se lie d'amitié. Il fait avec lui ses premières publications dans la revue britanniqueDeadline.
Toujours avec Chivard, mais aussi avec Boris Beuzelin (également rencontré aux Beaux-arts d'Angers), Olivier Supiot et Nathalie Bodin, il crée en 1996 l'association La boîte qui fait beuh, un atelier de dessinateurs amateurs en phase de devenir professionnels.
Par la suite il devient professeur à l'École supérieure des beaux-arts d'Angers pendant un an et donne des cours au centre socio-culturel des Ponts de Cé.
En 1997, il lance Toto l'ornithorynque avec Yoann[1], la série comptera huit volumes, le huitième et dernier, intitulé Toto l'ornithorynque et le dragon bleu étant publié en 2017[2]. En 2000, parait Mort Linden avec Lionel Marty.