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Étréville

Étreville
Étréville
L'église Saint-Samson Logo monument historique Inscrit MH (1961).
Blason de Étreville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Bernay
Intercommunalité CC Roumois Seine
Code postal 27350
Code commune 27227
Démographie
Gentilé Étrevillais
Population
municipale
669 hab. (2022 en évolution de −1,76 % par rapport à 2016)
Densité 60 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 22′ 22″ nord, 0° 39′ 04″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 136 m
Superficie 11,23 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Pont-Audemer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bourg-Achard
Législatives 3e circonscription de l'Eure
Localisation
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Étreville
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Étreville
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Étreville

Étreville est une commune française située dans le département de l'Eure en région Normandie.

Géographie

Localisation

Étreville est un village du Roumois en Normandie situé en rive gauche de la Seine, et, à vol d'oiseau, à 10 kmà l'est de Pont-Audemer, 40 km au sud-est du Havre, 33 km au nord-ouest de Rouen, 28 km au sud-ouest d'Elbeuf et 32 km au nord de Bernay.

La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Pont-Audemer, ainsi que dans sa zone d'emploi et dans son bassin de vie[I 1].

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Bourneville-Sainte-Croix, Brestot, Cauverville-en-Roumois, Éturqueraye, La Haye-Aubrée, Valletot et Vatteville-la-Rue.

Hydrographie

Aucun cours d'eau ne draine la commune.

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 11,23 km2 ; son altitude varie de 65 à 136 mètres[2].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 869 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Petiville à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 844,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité

La commune fait partie du parc naturel régional des Boucles de la Seine normande.

Urbanisme

Typologie

Au , Étréville est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10].

Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pont-Audemer, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,1 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,4 %), prairies (18,1 %), forêts (10,9 %), zones agricoles hétérogènes (8,6 %)[13].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 288, alors qu'il était de 279 en 2016 et de 260 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 90,6 % étaient des résidences principales, 4,9 % des résidences secondaires et 4,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,4 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Étréville en 2021 en comparaison avec celle de l'Eure et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (4,9 %) par rapport au département (6,2 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Étréville en 2021.
Typologie Étréville[I 3] Eure[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 90,6 85,8 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,9 6,2 9,7
Logements vacants (en %) 4,5 8 8,1

Voies de communication et transports

Etréville est traversée par l'autoroute A13, dont la sortie no 26 se trouve à la limite de son territoire.

Elle est également desservie par l'ancienne route nationale 175 (actuelle RD 675).

Énergie

Une unité de méthanisation exploitée par Agri-Bio-Energie transforme depuis 2012 des déchets qui, une fois traités, sont ensuite épandus comme engrais dans les champs et produit de l'électricité[14],[15].

Toponymie

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sturivilla vers 1054[16], Sturie vers 1069 (charte de Guillaume le Conquérant)[17], Esturvilla vers 1148 (charte de Henri II)[16], Estourvilla en 1155 (cartulaire de Préaux), S. Samson de Sturvilla 1179 (bulle d’Alexandre III)[17].

Il s'agit d'une formation toponymique médiévale en -ville (du gallo-roman VILLA « grand domaine rural » > ancien français vile, d'où vilain « paysan du Moyen Âge »). La fréquence de l'appellatif toponymique ville en Normandie est relative à la distribution des terres aux nouveaux arrivants à partir du Xe siècle, colons d'origine nordiques, de sorte que le premier élément est généralement un nom de personne norrois, voire parfois anglo-saxon. Cela se vérifie ici.

L'élément Estur- représente en effet le nom de personne vieux norrois Styrr (ou vieux danois Styr) qui se perpétue dans les noms de famille normands Estur et Eture[18],[19]. On le retrouve également dans Éturville (Manche), Estureville (Goupillières (Eure), 1450)[20].

Le sens global est donc celui de « domaine de Styrr ».

Remarque : François de Beaurepaire évoque aussi un anthroponyme scandinave Stur, qui ne semble pas attesté. Il rapproche le premier élément d'Étré-ville de celui d'Éturqueraye, alors que les formes anciennes sont du type Stor- pour ce dernier.

Histoire

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Bernay du département de la Seine-Maritime[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Routot[2]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Bourg-Achard[I 1].

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de la Seine-Maritime.

Intercommunalité

Étréville était membre de la communauté de communes du Roumois Nord, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1992 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté de communes Roumois Seine, dont est désormais membre la commune[I 1].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1819   M. Noury[réf. nécessaire]    
         
1898   M. Harou[réf. nécessaire]    
         
mars 1989 mai 2020[21] Monique Mouillière UMP-LR Retraitée Fonction publique
Présidente du SIVOS Jules Ferry ( ?→ 2020)
mai 2020[22] janvier 2025[23] Aline Donnet Mousseux[24]   Ancienne secrétaire de direction au lycée Boismard à Brionne
Présidente du SIVOS Jules Ferry (2020 → 2024[25])
Vice-présidente de la CC Roumois Seine (2023 → 2025)
Démissionnaire
janvier 2025[23] En cours
(au 21 janvier 2025)
Sylvain Gallais    

Équipements et services publics

Enseignement

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux d'Éturqueraye, La Haye-Aubrée, Valletot et Cauverville-en-Roumois dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal dont l'école et la cantine sont à Étreville[25].

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2022, la commune comptait 669 habitants[Note 3], en évolution de −1,76 % par rapport à 2016 (Eure : −0,25 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2401 2301 2851 1621 1551 1061 0751 0561 042
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 017972945850794700689661632
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
584580520464441458458473499
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
503472427437461508511512606
2014 2019 2022 - - - - - -
661665669------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

L'église Saint-Samson.
La Croix du moulin.

La commune d'Étréville compte un édifice inscrit au titre des monuments historiques :

On peut également signaler :

  • Le manoir de la Cour de Bourneville (XVIIIe siècle) au lieu-dit les Mariés[31] ;
  • Le manoir de la Bataille (XVIIe, XVIIIe et XIXe)[32] ;
  • Un château du XVIIIe siècle au lieu-dit les Fouillets[33] ;
  • Un manoir du XVIe siècle au lieu-dit le Guerrier[34] ;
  • Une croix de cimetière du XVIIIe siècle[35] ;
  • Deux maisons : l'une du XIXe siècle au lieu-dit le Guerrier[36], l'autre du XVIIIe siècle[37] ;
  • Une ferme du XVIIIe siècle[38].

À noter également qu'un édifice aujourd'hui détruit est inscrit à l'inventaire général du patrimoine culturel. Il s'agit du manoir des Moines de Préaux[39].

Héraldique

Blason de Étréville Blason
Parti : au 1) d'azur au colombier de gueules à la charpente d'argent essoré de sable, ouvert du même à senestre sur une terrasse de sinople, au 2) d'argent à la croix de procession tréflée d'or accostée, en pointe, de deux serpents ondoyants en S affrontés de sable ; le tout sommé d'un chef de gueules chargé de trois colombes essorantes d'argent.
Détails
Création M. Beaucousin. Présenté le 8 août 2009.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

Autres sources

  1. « Géoportail (IGN), couche « Limites Administratives » activée ».
  2. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  6. « Orthodromie entre Étréville et Lieuvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Petiville » (commune de Petiville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Petiville » (commune de Petiville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pont-Audemer », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Stéphane Fouilleul, « Pour apaiser la colère des riverains d'Etreville et des alentours, l'usine doit réduire ses nuisances », L'Éveil de Pont-Audemer,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  15. Stéphane Fouilleul, « L'unité de méthanisation d'Etreville inquiète de nombreux riverains », L'Éveil de Pont-Audemer,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  16. a et b François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 105.
  17. a et b Poret de Blosseville (Ernest), Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, 1877, p. 79 (lire en ligne)[1].
  18. François de Beaurepaire, op. cit.
  19. Site de Nordic Names : anthroponyme Styrr (anglais) [2].
  20. Ernest Poret de Blosseville, op. cit.
  21. Stéphane Fouilleul, « Municipales 2020 : Monique Mouillière, maire d'Etreville, a trouvé sa remplaçante », L'Éveil de Pont-Audemer,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Elue maire depuis 1989, Monique Mouillière ne briguera pas un nouveau mandat en mars 2020. Aline Donnet-Mousseux devrait lui succéder ».
  22. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
  23. a et b Stéphane Fouilleul, « Isolée et en conflit avec son conseil municipal, cette maire de l'Eure a démissionné », L'Éveil de Pont-Audemer,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élue maire d'Étreville (Eure) en 2020, Aline Donnet-Mousseux n'achèvera pas son premier mandat. Elle a démissionné de ses fonctions le 11 janvier 2025 [...] Premier adjoint au maire, Sylvain Gallais était candidat pour succéder à Aline Donnet-Mousseux. Le conseiller municipal Fabrice Masurier avait également déposé sa candidature. Sans trop de surprise, Sylvain Gallais a été élu avec 8 voix contre 3 et un vote blanc ».
  24. Stéphane Fouilleul, « Étreville. Crise au conseil municipal : la maire écarte deux adjoints », L'Éveil de Pont-Audemer,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. a et b Stéphane Fouilleul, « Étreville. La démission de la présidente du SIVOS Jules Ferry est critiquée », L'Éveil de Pont-Audemer,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Maire d'Étreville (Eure), Aline Donnet-Mousseux a récemment démissionné de son poste de présidente du SIVOS Jules Ferry dont l'école se trouve dans la commune ».
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  29. « Église », notice no PA00099399, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Eglise paroissiale Saint-Samson », notice no IA00018571, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. « Manoir de la Cour de Bourneville », notice no IA00018579, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Manoir de la Bataille », notice no IA00018573, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Château », notice no IA00018574, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Manoir », notice no IA00018575, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Croix de cimetière », notice no IA00018572, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Maison », notice no IA00018578, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Maison », notice no IA00018576, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Ferme », notice no IA00018577, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. « Manoir des Moines de Préaux », notice no IA00018580, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Prefix: a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9

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