Le régiment est mobilisé à nouveau le dans le secteur de Fumay-Mézières par le centre mobilisateur d'infanterie no 15. Il est constitué de trois bataillons, de la 13e compagnie de pionniers[5] et d'une compagnie cycliste (remplaçant le groupe de reconnaissance divisionnaire)[8].
Il participe au sein de la 52e DI à la défense de la ligne Maginot en Lorraine et est capturé dans l'est de la France le .
Traditions
Drapeau
Il porte, cousues en lettres d'or dans ses plis, les inscriptions suivantes[9] :
Le régiment adopte en 1939 un insigne similaire à celui du secteur défensif des Ardennes : une hure de sanglier devant une citadelle, entourés de la devise « Ardennes tiens ferme ». L'insigne régimentaire se distingue par l'ajout du numéro 291 accolé à la devise[11].
↑Service historique de l'état-major des armées, Les Armées françaises dans la Grande guerre, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, Paris, Imprimerie nationale, , 1092 p. (lire en ligne), p. 402