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Curzay-sur-Vonne

Curzay-sur-Vonne
Curzay-sur-Vonne
Le château de Curzay-sur-Vonne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Grand Poitiers
Maire
Mandat
Rozenn Sénélas
2022-2026
Code postal 86600
Code commune 86091
Démographie
Gentilé Curzéens
Population
municipale
378 hab. (2021 en évolution de −10,64 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 29′ 30″ nord, 0° 02′ 47″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 159 m
Superficie 16,52 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lusignan
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Curzay-sur-Vonne
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Curzay-sur-Vonne

Curzay-sur-Vonne est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Curzay-sur-Vonne
Boivre-la-Vallée
Sanxay Curzay-sur-Vonne
Rouillé Jazeneuil

Hydrographie

La commune est traversée par la Vonne.

Climat

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 797 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ménigoute à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 956,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

Typologie

Au , Curzay-sur-Vonne est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (90,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,5 %), prairies (20,5 %), forêts (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (3,1 %), zones urbanisées (2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Curzay-sur-Vonne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vonne et la Chaussée. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1995, 1999, 2010 et 2011[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Curzay-sur-Vonne.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[16]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[17]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[18]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 2],[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[13].

Risque particulier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Curzay-sur-Vonne est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[20].

Toponymie

Le nom de Curzay-sur-Vonne est formé de deux toponymes gaulois :

  • cor-ceton pour Curzay, qui signifie « petit bois » (cor signifie « petit » et ceton signifie « bois ») ;
  • vidunna pour Vonne, qui signifie « rivière de la forêt » (vidunna est formé de la base vidu- qui signifie « bois »).

Le nom de Curzay pourrait provenir, aussi, du nom du premier seigneur du site: Arnulfus de Cursiaco[21].

Avant 1945, le nom de la commune était simplement Curzay. « sur Vonne » a été officiellement ajouté cette année-là afin d'éviter les méprises avec Curçay, située dans le même département, et qui s'est alors nommée elle-même « Curçay-sur-Dive ».

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires successifs[22]
Période Identité Étiquette Qualité
1861 janvier 1883 Jean-Pierre Quinçais sans cultivateur
1884 octobre 1889 Jean-Pierre Gatineau sans cultivateur
1889 juillet 1917 Jean Baptiste Métayer sans régisseur du château
1920 octobre 1939 Elie Duval de Curzay sans vicomte de Curzay
1946 mars 1971 René Moisant sans régisseur du château
mars 1971 mars 1977 Jacques Stanislas sans  
mars 1977 mars 2001 Joseph Pasquier sans  
mars 2001 mars 2008 Reine Bonnin sans  
mars 2008 mars 2014 Joseph Pasquier sans  
mars 2014 avril 2022 Jean-Michel Choisy sans  
juin 2022   Rozenn Sénélas sans  

Instances judiciaires et administratives

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Démographie

Ses habitants sont appelés les Curzéens[23]. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[25].

En 2021, la commune comptait 378 habitants[Note 3], en évolution de −10,64 % par rapport à 2015 (Vienne : +1,03 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8378331 040846942876921917849
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
846854810849876873870821786
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
776799802709695672701650653
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
605518477529460426458456463
2014 2019 2021 - - - - - -
426387378------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 28 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France

Économie

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[28], il n'y a plus que douze exploitations agricoles en 2010 contre 22 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont chuté de 35 % et sont passées de 1 166 hectares en 2000 à 758 hectares en 2010. 43 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement), 31 % pour les oléagineux (colza), 11 % pour le fourrage et 10 % reste en herbes[28].

Trois exploitations en 2010 (contre neuf en 2000) abritent un élevage de bovins (165 têtes en 2010 contre 521 têtes en 2000). quatre exploitations en 2010 (contre cinq en 2000) abritent un important élevage de chèvres (3 250 têtes en 2010 contre 2 371 têtes en 2000)[28]. C’est un des troupeaux importants de caprins du département de la Vienne ( 74 500 têtes en 2011) qui est le deuxième département pour l’élevage des chèvres derrière le département des Deux-Sèvres[29]. L'élevage de moutons a connu une baisse importante : 710 têtes en 2000 répartis sur onze fermes contre 78 têtes en 2010 répartis sur trois fermes[28]. Cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[29]. L'élevage de volailles est anecdotique : 291 têtes en 2000 sur dix fermes et 86 têtes en 2010 pour six exploitations[28].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Le château est inscrit comme Monument Historique depuis 1927. Les façades et les toitures de l'aile sud des communs, la grange dimière, la chapelle et le bâtiment situé à l'ouest de la grange, le sont depuis 1983.

  • L'église de Saint-Martin de Curzay fut construite au tout début du XVIe siècle, très probablement par Artus Ratault, seigneur de Curzay. À l'origine, c'était la chapelle funéraire des seigneurs de Curzay. Elle s'appelait Notre-Dame-de-Recouvrance. C'était une simple chapelle sans transept. L'édifice a été classé au titre des monuments historique en 1925[30].
  • La chapelle : Devenue trop petite du fait de l'accroissement de la population au XIXe siècle, l'État, en 1836, construisit une chapelle latérale, côté nord, dédiée à la Vierge Marie. En 1838, la famille Duval de Curzay fait construire le pendant, côté sud, en y ajoutant le clocher que l'on voit de nos jours. Les deux chapelles forment ainsi le transept.

Au XXe siècle, l'église était en très mauvais état. Le Vicomte de Curzay proposa alors de construire une nouvelle église en assurant lui-même le financement des travaux. Les discussions avec l'administration des Monuments Historiques durèrent une bonne vingtaine d'années. L'église est classée Monument Historique en 1925. La solution retenue fut, alors, un agrandissement de l'édifice classé. Le vicomte avança les fonds en 1930 pour la réalisation des travaux qui ne furent, en fin de compte, jamais terminés, notamment le chœur. C'est dans cette partie que s'installa en 1988 le musée du vitrail.

Le mobilier fut complètement rénové au début des années 1950. Les chaises disparurent au profit de bancs modernes. L'autel, le confessionnal, la croix au-dessus du retable, le couvercle des fonts baptismaux ainsi que le porte-cierge pascal furent réalisés par un artisan de la commune suivant les plans dessinés par dom Bercher de l'abbaye de Ligugé.

Au début des années 1980, les murs furent piquetés et enduits. Le confessionnal, autrefois dans la chapelle de la Vierge, remplaça le banc du château. Ceci permit de mettre en valeur les fonts baptismaux du XIIe siècle situés dans la chapelle du clocher. Ils étaient autrefois, dans l'ombre, au fond de l'église près du portail.

Le retable avec les anges date du XVIIe siècle, le Christ en croix et le fauteuil du célébrant sont du XVIIIe siècle.

Le plan de l'église à la forme d'une croix latine. La nef est formée de quatre travées de voûtes d'ogives de style flamboyant. Les nervures des voûtes retombent sur des culs-de-lampe figurés. Ils ont été décapités lors de la Révolution. Ceux qui étaient à la croisée du transept représentaient les quatre symboles des évangélistes, à savoir le lion pour Marc, le taureau pour Luc, le jeune homme pour Matthieu et l'aigle pour Jean.

La façade occidentale est surmontée d'un pignon qui supporte une élégante croix en fer forgé.

Le portail est formé de trois arcs à gorges et archivoltes. L'ensemble est orné de crochets, d'un fleuron et de pinacles sculptés.

Le Musée du Vitrail est l’une des rares structures consacrées au vitrail en France. Il est installé dans une partie non-cultuelle de l’église Saint-Martin de Curzay-sur-Vonne, dans la Vienne depuis 1988. Il est rattaché à Grand Poitiers communauté urbaine depuis janvier 2017.

Le Musée du Vitrail propose un éclairage sur l’histoire de cet art ancestral, les différentes techniques de fabrication et il met à l’honneur le vitrail contemporain. Il valorise les œuvres et les artistes verriers dont la vision moderne du vitrail contribue à sa richesse et sa diversité. Il propose de découvrir le vitrail dans ses dimensions historiques, artistiques et techniques à travers son parcours permanent, ses expositions temporaires et les actions mises en place dans son Atelier.

Le parcours permanent présente, au rez-de-chaussée, une partie de la collection du Musée, des vitraux religieux mais également civils du 15e siècle à nos jours, où murs didactiques et tactiles, vidéos, tablettes participent à une scénographie pédagogique accessible pour chaque visiteur. Les expositions temporaires, installées à l’étage, proposent de découvrir suivant une thématique annuelle donnée des créations d’artistes verriers contemporains.

Le Musée du Vitrail, ouvert d’avril à novembre, propose des visites guidées tous les jours ouvrables à 15h, des audioguides en trois versions (adulte et enfant en français, et adulte en anglais), et pour le jeune public un espace ludique.

L’Atelier, situé en face du Musée, ouvre ses portes toute l’année et propose des ateliers adaptés suivant les publics accueillis (enfants dès 3 ans, adultes, personnes en situation de handicap, scolaires), des stages adultes d’initiation à la pratique du vitrail (technique traditionnelle au plomb) guidés par un vitrailliste professionnel, des temps d’échanges, de découverte et de démonstrations avec des artistes verriers, des résidences d’artiste estivales.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Illustration filmée : le musée du Vitrail dans l'émission La Carte au trésor diffusée sur France 3 le 6 juillet 2009.

Articles connexes

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Liens externes

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

[1]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Curzay-sur-Vonne et Ménigoute », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Menigoute_sapc » (commune de Ménigoute) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Menigoute_sapc » (commune de Ménigoute) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Curzay-sur-Vonne ».
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Curzay-sur-Vonne », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Curzay-sur-Vonne », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  21. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  22. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  23. Gentilé sur le site habitants.fr Consulté le 29/09/2008.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. a b c d et e Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  29. a et b Agreste – Bulletin no 12 de mai 2013
  30. https://www.pop.culture.gouv.fr/notice/merimee//PA00105449
Kembali kehalaman sebelumnya