La Division al-Hamza naît le à Azaz par la fusion de plusieurs groupes rebelles : le Liwa Marea Al-Semood, la brigade Dhi Qar, la brigade de l'Éclair du Nord, la brigade des opérations spéciales et la brigade al-Hamza, la plus importante, qui donne son nom au nouveau groupe[2],[3]. Le , la brigade Samarcande, composée de combattants Turkmènes, rallie à son tour le mouvement[2],[3]. La division al-Hamza se qualifie alors de « forces spéciales »[2],[3].
Le groupe est commandé par Seïf Boulad[5], dit Seïf Abou Bakr[1],[2],[3]. En , ce dernier affirme être à la tête de 1 600 combattants, dont 600 nouvelles recrues ayant rejoint le groupe après le début de l'Opération Bouclier de l'Euphrate[1].
Le groupe est soutenu par la Turquie et entretient également de bonnes relations avec les États-Unis, les combattants de la Division al-Hamza collaborent à plusieurs reprises avec les forces spéciales américaines[1].
Comme d'autres groupes de l'ASL, la Division Hamza organise des exfiltrations de déserteurs de l'État islamique. Quelques dizaines d'ex-djihadistes sont même enrôlés dans la division après avoir passés des « tests de déradicalisation »[7].