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Dragon Ball Z(ドラゴンボールZ, Doragon Bōru Zetto?, abréviation commune DBZ) est une série télévisée d'animationjaponaise adaptée de la franchise Dragon Ball d'Akira Toriyama et produite par Toei Animation. Cette série est diffusée initalement entre le et le , et fait suite au premier anime Dragon Ball, remplaçant celle-ci dans la plage horaire du mercredi à 19h[1].
Elle adapte alors les vingt-six derniers volumes du manga en 291 épisodes de 25 minutes. La série est ensuite remplacée le par une suite inédite en manga, Dragon Ball GT.
Une version restaurée en HD et remontée en 159 épisodes (167 à l'international), intitulée Dragon Ball Kai (ou Dragon Ball Z Kai et Dragon Ball Z Kai: The Final Chapters à l'international), a été diffusée du au à 9 h, en compagnie de One Piece, dans le bloc de programmes Dream 9.
En raison de sa popularité grandissante, Dragon Ball Z en tant que série animée devient une référence pour la franchise entière, éclipsant d'une certaine manière la première série. Elle remporta d'ailleurs le Prix Kyo de 2003, puis le Prix Jump de 2007. Une suite directe, intitulée Dragon Ball Super, a été diffusée (en parallèle du manga du même nom) du au sur Fuji TV, remplaçant alors Dragon Ball Kai.
Dragon Ball Z se déroule cinq ans après le mariage de Sangoku et de Chichi, désormais parents de Sangohan[2]. Raditz, un mystérieux guerrier extraterrestre, qui s'avère être le frère de Son Goku, arrive sur Terre pour retrouver ce dernier. Ce dernier apprend qu'il vient d'une planète de guerriers redoutables dont il ne reste plus que quatre survivants, et qu'il avait été envoyé sur la planète Terre dans le but de la conquérir (une chute alors qu'il était enfant lui aurait fait perdre la mémoire).
Tout comme Dragon Ball, Dragon Ball Z se déroule dans des univers multiples où la guerre et l’affrontement entre le bien et le mal sont permanents. L'un des motifs récurrents est la présence de boules de cristal. Si sept boules de cristal sont réunies, n’importe quel vœu peut être exaucé, hormis s'il a déjà été demandé, en invoquant le dragon Shenron, émanation du Tout-Puissant. Ces dernières sont la cause des plus grands conflits de la saga, car elles peuvent notamment apporter l’immortalité. Presque tous les plus grands ennemis de Dragon Ball puis Dragon Ball Z les recherchent (Vegeta, Freezer, Garlic Junior, Piccolo).
Analyse de l'œuvre
La série Dragon Ball Z se différencie de Dragon Ball par son accent mis sur les combats opposant Sangoku et ses amis à des ennemis toujours plus puissants et acharnés dans leur conquête du monde. Dans Dragon Ball, le personnage principal Son Goku apparaît comme un enfant surdoué des arts martiaux qui lutte contre des personnages le plus souvent sans scrupules et méchants, mais qui reste dans une certaine mesure à dimension humaine. Dans Dragon Ball Z, à la manière d'un roman initiatique, Son Goku devient adulte, tombe amoureux en épousant Chichi et a des enfants, mais surtout il affronte de nouveaux ennemis surpuissants tels que Vegeta, Freezer, Cell ou encore Boo. Les combats ne se déroulent plus seulement sur Terre mais aussi et souvent sur des planètes lointaines, notamment celle des Nameks et celle des Kaïo Shins.
Inspiration
Dragon Ball Z est la suite de l'adaptation en série télévisée d'animation du manga Dragon Ball, qui a eu un impact profond sur une large génération. L'adaptation est cependant beaucoup plus libre que dans la première moitié de l'œuvre, la production ayant recours à une censure variable et surtout à de nombreux épisodes « fillers » créés de toutes pièces par l'équipe d'animation, plus ou moins en adéquation avec l'œuvre originale.
Thèmes abordés
Tout d'abord, des valeurs liées aux arts martiaux et au combat tels que l'abnégation, le courage, la force et la capacité à se surpasser pour atteindre ses objectifs sont parties prenantes de l'univers Dragon Ball (et sont des caractéristiques communes du sous-genre nekketsu)[3]. À de nombreuses reprises, Son Goku passe tout près de la mort mais grâce à un mental hors-norme et à ses pouvoirs de Saiyan, il réchappe souvent tant bien que mal de situations qui paraissaient désastreuses. Cette volonté extraordinaire est l'une des qualités du héros qui attire et repousse les ennemis tout au long de la série. D'autre part, le thème de la puissance dans Dragon Ball Z est au cœur des discussions entre les principaux protagonistes. Leurs entraînements intenses ainsi que leurs combats leur permettent de développer leurs potentiels de façon exponentielle (surtout dans les cas des Saiyans qui ont un potentiel théoriquement illimité). La série aborde de nombreux sujets tels que les problèmes liés à la robotique et à l'intelligence artificielle par le biais des cyborgs (notamment C-16, C-17, C-18 et C-19).
L'univers de Dragon Ball se déroulant dans un futur proche, certaines inventions technologiques sont présentées comme la « capsule », qui permet de mettre en poche n'importe quel objet de taille importante comme une moto, une maison, etc. La présence sur d'autres planètes d'extraterrestres à la force prodigieuse, tels Freezer, confirme le caractère de science-fiction de la série. Le mythe du professeur fou est aussi exploré par l'intermédiaire du Dr Gero, s'étant lui-même transformé en cyborg (nommé C-20) et est également le créateur de Cell, un des plus puissants adversaires de la saga. L'environnement est aussi un thème récurrent dans la série : celui-ci est souvent détruit par les combats de Son Goku et ses amis mais ceux-ci s'en inquiètent fortement. La capacité de destruction des belligérants augmentant, la dégradation environnementale est également liée à la survie même des protagonistes et de tous les humains[4]. Dragon Ball Z pose également la question de la vie après la mort : Son Goku est amené à mourir mais continue de vivre au Paradis, passant même par plusieurs résurrections, déployant un folklore religieux taoïste et bouddhiste (avec notamment le personnage du roi Enma).
Enfin, Dragon Ball est une œuvre souvent chorale : au contraire de Superman (auquel on compare souvent l’œuvre d'Akira Toriyama[réf. nécessaire]), le héros est ici entouré d'une équipe d'amis sans lesquels il ne réussirait jamais les épreuves qu'il affronte, et les relations entre personnages, souvent complexes, sont un thème majeur de l'histoire (plusieurs ennemis deviennent des alliés, d'abord de mauvaise grâce, par convergence d'intérêt, jusqu'à être pleinement intégrés au fil des épreuves contre des menaces croissantes qui transcendent toutes les dissensions), redoublé par les relations de parenté qui s'établissent également. Son Goku connaît même plusieurs longues absences dans le scénario, laissant la vedette à d'autres personnages, et notamment son fils Son Gohan[5].
Anime
Au Japon, Dragon Ball Z a été initialement diffusée du au sur Fuji TV[6]. Le , Fuji TV commence la rediffusion de Dragon Ball Z, remasterisé en haute définition et en 16/9, remontée en 167 épisodes (159 en VO) sous le titre, Dragon Ball Z Kai.
Depuis l'arrivée de la série en France le au sein du Club Dorothée, AB, groupe propriétaire des droits, ne mettait à disposition du public que la version françaisecensurée, autant lors des diffusions télévisées que pour les éditions en vidéo (mis à part pour l'édition DVD en 2001 du quatrième film de Dragon Ball, L'Armée du Ruban Rouge, chez un autre distributeur, AK Video). La situation était la même pour toutes les séries d'animation japonaises dont AB avait acquis les droits. Les premières diffusions se faisaient de manière systématique dans l'émission Club Dorothée sur TF1. En dépit des coupes de censure, la série a suscité un certain nombre de critiques pour sa violence. Sa diffusion a été stoppée en soit près d'un an avant l'arrêt du Club Dorothée, alors que la série n'avait pas encore été totalement diffusée. L'épisode 274, Gare aux mirages, a été le dernier dévoilé. Par la suite, la série a été diffusée sur des chaines du câble / satellite : Mangas, AB1, TMC, MCM, RTL9,Cartoon Network[7],Game One. En Polynésie française, la série a été diffusée dans son intégralité entre janvier et septembre 2001 sur la chaîne TNTV, rencontrant un vif succès. Avec la TNT, la série est visible sur NT1 dans une version remastérisée (basée sur des masters plus propres que les vieux masters AB mais non exempts de défauts zoom[précision nécessaire] et de censures au niveau de l'image[8]), ce qui permet de proposer la série au plus grand nombre, dix ans après son arrêt sur TF1. Par ailleurs, la série est sortie peu à peu, en version censurée, en DVD individuels contenant entre 4 et 6 épisodes chacun, puis elle s'est interrompue au volume 44.
Le sont sortis les trois premiers films de Dragon Ball, les six premiers films et le premier téléfilm de Dragon Ball Z, réunis dans un coffret DVD, en version française et en version originale japonaise sous-titrée, non censurés. Le est sorti le deuxième coffret comprenant les derniers films. À cela s'ajoute le film de la troisième série, Dragon Ball GT, intitulé 100 ans après (renommé L'Héritage du Héros). Dans la nuit du au , la chaîne Mangas a diffusé le premier épisode de la série en version française remastérisée et non censurée avec les génériques japonais, les eyecatches, le teaser et l'écran-titre Un mystérieux guerrier dit pour l'occasion par Patrick Borg, la voix française de Son Goku. Cette version, alors inédite en France, a été diffusée en avant-première de la sortie des trois coffrets regroupant l'intégralité de la série en VOSTFr / VF : le premier coffret DVD collector est sorti le [9]. Depuis le , Mangas propose cette version à la télévision ; le deuxième coffret DVDcollector est commercialisé le [10] et le troisième est commercialisé le [11]. Le , la série a été diffusée en intégralité sur la chaîne Direct Star[12] à raison de cinq épisodes par jour, et par la suite sur D17.
Note : Le doublage français de Dragon Ball Z a souffert de plusieurs difficultés : une équipe de comédiens restreinte pour doubler tous les personnages de la série, avec parfois certains personnages doublés par des comédiens différents d'un épisode à l'autre.
Dragon Ball Z a été l'un des piliers de la popularisation des mangas et des animes en France, instaurant une image négative chez les uns (assimilation systématique des mangas à la violence) et positive chez les autres (le manga correspond à une sorte de dynamisme[pas clair]). Par la suite, la parution du manga Dragon Ball chez Glénat a aussi connu un grand succès (plus de 17 millions d'exemplaires vendus en France), coïncidant avec un déferlement du manga en France.
La diffusion de Dragon Ball Z dans une émission pour enfants a également été sujet à polémique. En 1991, le CSA sanctionne TF1 via un communiqué à l'antenne juste avant le journal 20 heures pour avoir diffusé « des scènes de violence et de sadisme » dans une émission pour enfants les et [13], Dragon Ball étant la première série d'animation concernée.
Différences avec le manga
L'univers et l'esprit d'Akira Toriyama sont respectés la plupart du temps dans la série animée. Toutefois, alors que dans le manga, la progression de l'histoire est plutôt rapide et rythmée, elle est beaucoup plus lente dans Dragon Ball Z. En particulier lors des combats, le rythme est considérablement ralenti et certains de ceux-ci s'étalent inconsidérément sur des dizaines d'épisodes. Cette modification du rythme s'explique par la nécessité de ne pas rattraper la trame du manga, dont la publication était plus lente que celle de la série animée. Les passages sur les combats s'en trouvent ainsi très longs, avec des commentaires de personnages secondaires qui ne figurent pas dans le manga, ou de nombreux retours en arrière.
Certains épisodes (voire séries d'épisodes) dits « de remplissage » (fillers) sont ajoutés et donc n'apparaissent pas dans le manga :
Les épisodes 9 à 17 détaillent les aventures de Son Gohan durant sa survie en solitaire, de Son Goku courant sur le chemin du serpent, ainsi que l'entrainement de Krilin et des autres combattants par le Tout-Puissant pendant les six mois suivant le combat contre Raditz.
Les épisodes 39 à 43 racontent les péripéties spatiales de Krilin, Bulma et Son Gohan impliquant une fausse planète Namek. L'épisode 42 contient néanmoins un élément de l'histoire originale : le réveil de Vegeta sur une lointaine planète. Dans les épisodes 59 et 60 nous sont contés les malheurs de Bulma sur Namek.
Dans l'épisode 100, Son Gohan, qui est arrivé au vaisseau spatial afin de fuir la planète, revient sur ses pas pour défier seul Freezer qui est pourtant alors à 100 % de son potentiel.
L'épisode 124 montre l'entrainement de Vegeta à 300 G, puis l'épisode 125 nous montre Son Goku et Piccolo obligés de suspendre leur entrainement pour apprendre à conduire à la demande de Chichi (épisode entier tiré d'une illustration du manga). Ces deux épisodes se déroulent au même moment : durant la période d'entrainement entre le retour de Freezer et l'arrivée des cyborgs.
L'épisode 170 est une mini aventure de Son Gohan qui voit le retour de Tao Pai Pai, et l'épisode 171 est une sorte de « photo » de la famille Son avec des anecdotes sur Son Gohan bébé. Ceci se passe pendant la mise au repos précédant le Cell Game.
La quête des Dragon Balls de Son Goku est aperçue dans l'épisode 174 juste avant le Cell Game.
Son Goku participe au Tenkaichi Budokaï de l’autre-monde lors des épisodes 195 à 199.
Les déboires hors-série de Son Gohan en Great Saiyaman nous sont contés dans les épisodes 202 et 203.
Les épisodes 288 et 289 décrivent la paix retrouvée au lendemain du combat contre Majin Boo.
Il est à signaler que bon nombre d'autres épisodes cités ci-dessus sont également remplis d'éléments rajoutés n'existant pas dans le manga, pouvant fréquemment constituer la majeure partie de certains épisodes. Cependant, ils ne peuvent être considérés à part entière comme épisodes fillers en raison d'une certaine continuité de l'histoire originale et d'un certain nombre d'informations nécessaires à la compréhension ou au bon déroulement de la trame principale.
DragonBallZKai, plus fidèle au manga d'Akira Toriyama, supprimera la plupart des fillers.
Commentaires
Cette série couvre les volumes 17 à 42 du manga Dragon Ball soit trois arcs majeurs de la série : Les Saïyens – Freezer, Les Cyborgs – Cell Game et Majin Boo. La trame de l'histoire repose sur une succession d'adversaires à combattre, de plus en plus forts (Raditz, Nappa, Vegeta, Dodoria, Zabon, Reacum, Ginyû, Freezer, C-20, C-19, C-18, C-17, Cell, Boo), souvent accompagnée d'un contexte de quête, de voyages, avec un humour fréquent voire omniprésent lors de certains passages (bien que fortement atténué par rapport à la tonalité de la première série). Les personnages évoluent sur une durée (fictive) de plus de vingt ans, ce qui est très rare dans ce type d'anime et dans les œuvres de fiction de manière générale. Ainsi, on peut voir nombre d'entre eux construire puis agrandir leur famille au fil du temps ce qui permet la création de nouveaux personnages qui eux-mêmes évoluent dans le temps, développent leurs propres caractères et histoires personnelles.
Les épisodes 275 à 291 n'ont jamais été diffusés sur une chaîne hertzienne, la diffusion de la série ayant été stoppée en , avant l'arrêt du Club Dorothée sur TF1 fin aout 1997, à la suite de protestations d'associations de familles relatives à la violence de la série. L'année suivante, TF1 Vidéo a rendu disponibles ces épisodes inédits sous forme de VHS à acheter en kiosque, à raison de quatre épisodes par semaine (dont l'épisode 274, dernier diffusé sur TF1), les 2 derniers épisodes ayant été accompagnés du film Dragon Ball Z : L'Attaque du dragon.
Produits dérivés
DVD
L'édition de la série existe à l'unité, en coffret 8 DVD, 9 DVD, 4 DVD et en boîtier slim[14]. 44 volumes individuels contenant au total 223 épisodes ont été commercialisés[15]. Trois coffrets de 8 DVD contenant 144 épisodes ont également été commercialisés.[réf. nécessaire]
Sept digipacks et quinze coffrets de 61 volumes contenant les 291 épisodes ont été commercialisés[16].
La série a aussi été éditée en trois coffrets DVDcollector en version intégrale non censurée, combinant VOSTFr et VF, correspondant aux trois sagas principales de la série « Z » :
Son Goku, Trunks, Vegeta, Freezer, Piccolo, Cell, Majin Boo apparaissent comme personnables jouables dans Jump Force sorti en Février 2019 sur PlayStation 4.
Jeux de société
En 2017, Dragon Ball Z est adapté en Monopoly. Le jeu est commercialisé en France depuis le [21],[22], sur le site Référence Gaming[23] ou en boutique. Le principe est d'acheter des personnages du manga en lieu et place des rues habituelles. Les six pions jouables ont été remplacés par : « l'épée de Trunks, une Capsule, la Dragon Ball à 4 étoiles, un Dragon Radar, une Armure Saiyan et une Carapace de Tortue ».
Anime comics
Dragon Ball Z a aussi fait l'objet d'une adaptation en anime comics, c'est-à-dire en manga papier fait à partir des images de l’anime. En France, la parution a commencé depuis le mois d'avril 2008 aux éditions Glénat.
Une première version en a été publiée dans Dorothée Magazine au début des années 1990.
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Dragon Ball: Episode of Bardock(ドラゴンボール エピソード オブ バーダック, Doragon Bōru Episōdo obu Bādakku?, litt. Dragon Ball: Episode of Bardock) est un manga en trois chapitres de Naho Ōishi, prépublié dans le magazine V Jump en 2011, dérivé de l'univers de Dragon Ball.
Un TV special, réalisé par Toei Animation et adapté du manga, est sorti le 17- (en avant-première[25]). La sortie est annoncée par le V Jump pour courant 2012[26] au Japon.
À la suite du succès du TV special, un anime est également prévu dans un projet de plus grande envergure intitulé Dragon Ball: Force Project(ドラゴンボールフォースプロジェクト, Doragon Bōru Fōsu Purojekuto?)[27], également appelé Dragon Ball SSSS pour Dragon Ball Saikyō Super Saiyan Secret.
↑Frédéric Ducarrme, « L'éthique du corps dans le manga nekketsu : l'exemple de Dragon Ball d'Akira Toriyama », dans Isabelle Guillaume, Aymeric Landot, Irène Le Roy Ladurie et Tristan Martine, Les langages du corps dans la bande dessinée, Paris, L'Harmattan, (lire en ligne).
Le Dictionnaire de Dragon Ball, Glénat, coll. « Art of », , 312 p. (ISBN978-2-7234-2945-0).
(en) Jason Thompson, « Dragon Ball », dans Manga: The Complete Guide, Random House Publishing Group, (lire en ligne).
(en) Mínguez-López X, « Folktales and Other References in Toriyama's Dragon Ball », Animation: An Interdisciplinary Journal, vol. 9, no 1, , p. 27–46 (lire en ligne).
Frédéric Ducarme, « Problématiques de la paternité dans Dragon Ball », Bulles de Savoir, (lire en ligne).
Frédéric Ducarrme, « L'éthique du corps dans le manga nekketsu : l'exemple de Dragon Ball d'Akira Toriyama », dans Isabelle Guillaume, Aymeric Landot, Irène Le Roy Ladurie et Tristan Martine, Les langages du corps dans la bande dessinée, Paris, L'Harmattan, (lire en ligne).
Bouissou J., « Pourquoi aimons-nous le manga ? Une approche économique du nouveau soft power japonais », Cités, vol. 3, no 27, , p. 71–84 (lire en ligne).