Sa présidence coïncide avec une période de répression féroce des mouvements sociaux, connue au Brésil sous le nom d'années de plomb et marquée par une guerre sale menée contre la population civile. Médici était en effet un partisan de l'interventionnisme militaire dans la vie politique intérieure, étendant les attributs de l'armée dans les domaines sociaux, économiques et politiques, au nom de la doctrine de la sécurité nationale. Il apporte par ailleurs son appui au régime militaire d'Augusto Pinochet au Chili.